1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : du candaulisme à l’adultère (2)


    Datte: 30/11/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... bien, il était ravi et m’a demandé de venir tout de suite.
    
    • Je te connais, Olga, à moi tu ne peux pas mentir.
    
    • Mais non chérie, je t’assure, je suis heureuse et impatiente. Je retrouve N. et il va me baiser. C’est ce dont j’avais envie pendant toutes ces semaines.
    
    • Que tu aies envie qu’il te baise, ça je veux bien te croire. Que tu sois heureuse, j’en doute.
    
    • De toute façon, je n’ai plus le choix désormais.
    
    • Olga, on a toujours le choix. Tu finiras par ouvrir les yeux. Je t’attendrai et je sais que Philippe t’attendra.
    
    • Laisse Philippe, s’il te plait. Je ne suis pas digne de lui. Je vais arriver chez N., je t’appellerai quand je peux, je ne veux pas tout de suite lui parler de toi ni de mes enfants. Je t’aime, je les aime, dis-leur !
    
    J’ai coupé le téléphone car j’étais sur le point d’arriver chez N. et surtout j’étais au bord des larmes car je connaissais les conditions qu’il m’imposait. Je pensais qu’avec le temps, il s’assouplirait, je n’imaginais pas être tombée amoureuse d’un monstre.
    
    POSSEDEE
    
    N. ouvrit la porte. Comme il l’avait fait au téléphone, il ne montra aucune tendresse, témoignant au contraire d’une certaine dureté. Je voulais me jeter dans ses bras, j’avais envie de parler, de lui expliquer mon comportement, mes hésitations, mes raisons. Son attitude me faisait comprendre que le programme était différent. Son sourire, son regard étaient celui d’un chasseur, d’un prédateur, sûr de lui et dominateur, certain de sa victoire. ...
    ... J’étais sa proie et il me faisait comprendre que je devais désormais faire tout ce qu’il voulait.
    
    • Nous aurons tout le temps de parler plus tard. Je te donnerai mes instructions s’agissant de ton divorce ou encore de la tenue de cette maison puisque désormais tu es ma femme. Pour le moment, on va faire ce pour quoi tu es venue : je vais te baiser, c’est bien ce que tu veux ?
    
    J’aurais dû m’en aller immédiatement. Je ne l’ai pas fait parce qu’il avait raison : j’étais venue pour ça, pour me faire baiser par un mâle dominant. La tendresse, l’amour, je l’avais auprès de Philippe. Je me suis dit aussi que je méritais d’être traitée ainsi, puisque j’avais tout gâché.
    
    • Je te le demande une dernière fois, Olga : c’est bien ce que tu veux ? Si ce n’est pas le cas, tu peux repartir immédiatement. Je t’écoute, dis ce que tu as envie !
    
    • Je veux que tu me baises, N. J’en crève d’envie !
    
    • Alors suis-moi à la chambre. Je vais te démonter, te niquer comme tu ne l’as jamais été, petite putain !
    
    Arrivés à la chambre, nous nous sommes enfin embrassés, nos corps collés l’un à l'autre, nos bouches se jouaient des lèvres de l'autre. On s'est embrassé encore et encore. Ses mains passaient de mon dos à mes fesses.
    
    J’ouvrais sa chemise et continuais à l’embrasser tout en descendant sur son torse, son ventre.
    
    Ma main s’aventura dans son boxer et je caressais sa belle queue.
    
    Nos peaux se touchaient et nos baisers redoublaient de passion. J’avais mis une superbe lingerie en ...
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