1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : du candaulisme à l’adultère (2)


    Datte: 30/11/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... dentelle, je savais que ça lui plairait.
    
    Je savais que j’allais connaître des plaisirs et une passion jamais égalée. Rien d’autre ne m’importait à ce moment précis.
    
    Il m’entraîne sur le lit, m’embrasse encore, j’en tremble d’excitation. Il embrasse ma bouche, mon cou, mes seins. Il descend doucement, remonte, redescend puis remonte encore, chacun de ses baisers sur ma peau ne sont que douce torture.
    
    Je me laisse alors aller sur le lit en fermant les yeux. Je sens sa main me caressant les seins, ses lèvres sur mes tétons, ses baisers dans mon cou, remontant jusqu’à mon oreille. Ensuite, il s’attarde sur mes tétons bien érigés, les mordille, les suce et aspire presque tout mon mamelon.
    
    D’un geste rapide il ouvre les derniers boutons de ma robe, s’agenouille devant moi et plonge entre mes cuisses.
    
    Quelques petites minutes plus tard, après un moment tendre remplis de nombreux baisers et caresses, N. s’occupe de moi.
    
    Il m’allonge alors sur le dos, se glisse entre mes jambes et frotte son sexe à l’entrée de ma chatte. Elle est trempée, je le supplie de me pénétrer enfin. Des mois que j’attends ça !
    
    Ses aller-retours font coulisser son sexe des lèvres au clitoris, je gémis, le regarde en me mordant les lèvres, un regard qui l’implore de me prendre.
    
    Il m’embrasse et fait courir sa bouche le long de mon corps, mon cou, mes seins, mes tétons si sensibles, mon ventre, mon sexe. Avant d’y poser sa bouche il s’amuse à en faire le tour, à embrasser l’intérieur de ...
    ... mes cuisses. Il pose enfin sa bouche sur mon bouton pour le caresser de sa langue.
    
    Il suce et lèche alors mon clitoris puis les lèvres humides de ma chatte, dégustant ainsi le jus qui en sortait. Ses lèvres entourent ma vulve tandis que ses mains pétrissent encore et encore mes seins. Je n’hésite pas à pousser quelques gémissements de plaisir et parfois des cris incontrôlables en me tordant sur le lit. Je viens de jouir une première fois de la soirée.
    
    N m’embrasse amoureusement. Alors que je suis à peine remise de ce tsunami de jouissance, N. se relève rapidement et me fait glisser sur le bord du lit.
    
    De mon côté, j’arrive à son pantalon, défais sa ceinture et embrasse son sexe par-dessus le coton de son boxer. Je libère son sexe, lui souris et engloutis sa belle queue dans ma bouche avide de désir.
    
    Je le regarde dans les yeux, je lui dis que je l’aime. Mes mains accompagnent ma bouche, je veux m’appliquer comme je ne l’ai jamais fait, comme la première fois où, encore vierge, j’avais prodigué cette caresse pour laquelle je suis si douée.
    
    Le voyant prendre son pied, je continue de plus belle, accélérant, alternant longue descente et aller-retour frénétique. Je prends mon temps et m’en amuse
    
    Son plaisir monte et j’en suis fière. Je m’applique : lécher la hampe de tout son long, couvrir son sexe de baisers, prendre ses testicules dans ma bouche puis revenir sur sa queue.
    
    Il me dit alors d’arrêter, je lui souris et continue de plus belle, il me dit alors de me ...
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