Tante Gertrude
Datte: 20/10/2018,
Catégories:
ff,
fbi,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
nopéné,
init,
Auteur: Jane Does, Source: Revebebe
... m’avait nullement lâché la main et entraînée par son élan, je me retrouvai vautrée sur son corps. Nos pantys ne résistèrent guère à sa fougue.
Quelques instants plus tard, elle était allongée sur moi, la frimousse entre mes jambes que ses bras maintenaient écartées. Par contre, elle ne s’était pas dérangée et n’avait nullement cherché à se positionner à mes pieds. Non, son corps se frottait au mien sur toute sa longueur et bien entendu… lorsqu’elle enjamba mon visage, j’eus de suite sur la bouche cet identique endroit qu’elle léchait depuis deux minutes déjà ! Alors ? Que me restait-il à faire ? La repousser et la renvoyer dans sa couche ? Pensez-vous que ce fut mon choix ? C’était ainsi qu’à l’issue d’un orgasme mutuel, ma douce Adèle m’apprenait que ce que nous venions d’entreprendre, en langage fleuri se nommait : soixante-neuf !
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Les meilleures choses ont toujours toute une fin. Nos vacances à la maison ne firent pas exception à la règle. Nous avions donc à l’issue de ces trois semaines regagné notre pensionnat. J’étais plus riche pourtant de ces mille détails appris en si peu de temps. Et nous pouvions parler désormais des garçons, de leur queue puisqu’il nous avait été donné d’en apprécier une en pleine action. Bien sûr, nous n’avions pas goûté vraiment. Mais du moins connaissions-nous la manière dont les hommes s’en servaient. Celle dont les femmes en usaient me fascinait par bien des points. Difficile cependant d’en croiser une dans ces lieux de ...
... prières et d’études.
Hormis le goupillon de notre père abbé, et encore doutions-nous, vu son embonpoint caractérisé, qu’il sût s’en servir d’autre manière que pour uriner, aucun garçon, aucun homme ne naviguaient dans le parc spécialement aménagé pour des donzelles de notre espèce. Quant à nos livres de chevet, pas un seul ne mentionnait un terme approchant celui de pénis ou de sexe. Par contre, les années qui suivirent, avec cette amie si dévouée, en cachette nous apprîmes la danse. Pas sur des accords de grands compositeurs, non ! Sur des musiques de bastringues ramenées de je ne savais où par Adèle.
Mais la patience était pour nous une seconde nature. Et à l’automne trente-huit, les bruits de bottes se rappelant aux bons souvenirs de ma famille, je dus quitter ce havre de paix qui m’avait depuis si longtemps accueillie. Derrière moi, je laissais cette amie amante avec qui nous avions eu de si chaudes nuits. Mais contrairement à d’autres que l’on envoyait à la campagne, mon père ne souhaitait pas une promiscuité que j’imaginais compliquée. Je fus donc dirigée sur la capitale, chez une vieille tante. Gertrude avait un âge canonique.
Elle avait arrêté de comptabiliser les années depuis si longtemps qu’elle disait ne plus se rappeler combien elle avait connu d’hivers. Elle se comportait envers moi comme une mère attentionnée. Veuve, elle me parlait souvent de cet homme qui durant longtemps avait tout partagé avec elle. Nous devenions des amies plus que des parentes et ...