1. Tante Gertrude


    Datte: 20/10/2018, Catégories: ff, fbi, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral nopéné, init, Auteur: Jane Does, Source: Revebebe

    Résumé épisode I : «L’apprentissage »
    
    Un temps lointain où les filles n’avaient pas la même valeur que les garçons !
    
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    Ce baiser consommé en avait attiré de nombreux autres. Tous plus ou moins agréables et nos mains aussi avaient découverts moult chemins où se promener. Aucune des quatre ne s’était gênée, toutes avaient participé à ces multiples randonnées, mais nous n’avions jamais osé franchir le pas fatidique de l’alliance doigts et langue. Adèle et moi redoutions sans doute cette escalade que nous savions pourtant inéluctable. Seul le moment restait peut-être à déterminer. Tant que nos appétits se bornaient à des baisers plus ou moins poussés, à des caresses langoureuses sur nos poitrines, ni elle ni moi ne voulions brusquer les choses.
    
    Le hasard devrait donc intervenir pour bousculer ces habitudes que nous prenions au pensionnat. Les fêtes de fin d’année arrivaient à grands pas et Clothilde vint donc me chercher pour me ramener à la maison. Malheureusement pour elle, ma chère Adèle n’avait pas la chance que ses parents en fassent autant. Les larmes qu’elle montrait lorsque ma mère me fit monter dans la voiture flambant neuve que mon père s’était offerte laissèrent son cœur de maman quelque part déboussolé.
    
    — Charlotte, ta camarade de chambre n’a donc pas ou plus de famille ?
    — Si maman, mais je crois que ses parents sont dans une île d’Espagne… Ibiza je crois, et ils ne rentreront que mi-janvier.
    — Ils oublient leur fille dans cette maison ? ...
    ... C’est bien pour les études, sans doute moins pour y fêter Noël et l’An neuf.
    — Oui ! Je sais ! Elle n’a cependant guère le choix.
    — Tu crois que si j’intercédais auprès de la mère supérieure… elle nous autoriserait à la faire venir à la maison ? Je veux bien essayer si, bien entendu, elle aussi accepte notre invitation !
    — Mais papa, lui, sera-t-il aussi conciliant que toi ?
    — Pour lui, j’en fais mon affaire. Allez, remonte dans ta chambre et vois avec ta petite camarade si ça lui conviendrait…
    
    Bien sûr que ce fut le cœur battant que quatre à quatre je remontai les escaliers de granit pour aller discuter avec Adèle de la proposition surprenante de ma mère. Ma jeune colocataire me regarda dans un premier temps avec des yeux incrédules, puis un large sourire illumina sa bouille mangée par ses lunettes rondes lui donnant un air de vieille fille.
    
    — Oh ! Bien sûr que je suis d’accord. Depuis le temps que tu m’en parles de ta maison… et puis c’est chez toi, dans ta vraie chambre que j’aimerais que nous nous découvrions un peu davantage.
    — Tu penses à quoi exactement ?
    — Je songe, tu t’en doutes, à cette idée qui nous traverse l’esprit de temps en temps ! Tu vois, celle en ce moment qui chez toi comme chez moi nous chauffe le corps et les sens. Tu imagines, se caresser dans ton lit, dans ta demeure bourgeoise ? Et bien plus encore…
    — Tu me raconteras tout cela à la maison, à moins que la directrice d’ici s’oppose à ce que tu viennes avec nous.
    — À mon avis avec ce que ...
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