1. Frisia ou La débauche romaine


    Datte: 13/10/2018, Catégories: fh, ffh, grp, jeunes, soubrette, Oral pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe init, historique, historiqu, Auteur: Apv, Source: Revebebe

    ... restantes. Mon bel ami César Paulinus léchait les seins énormes de la prostituée qui l’avait fait jouir. Il aurait pu s’étouffer entre les mamelles phénoménales. Pendant qu’il s’évertuait à titiller les tétons durs, la libertine accusait l’étreinte vigoureuse d’un noble romain.
    
    Je remarquais, au bout d’un moment, une tête derrière les paravents entourant le patio. Il me fut facile de deviner la silhouette de Niocléa. La jeunette devait s’exciter de cette orgie, de ces corps amoncelés. J’avais bu et mon funeste dessein se profilait enfin.
    
    — Frisia, criai-je en entrant dans la cuisine.
    — Oui maître ? répondit la cuisinière avec crainte, en constatant mon état d’ébriété.
    — Te rappelles-tu de ta promesse, la veille de tes noces ?
    — Oui maître ? répondit-elle en souriant.
    — Eh bien, suis-moi ! C’est ce soir.
    
    Mon ton de voix, choisi sciemment, ne tolérait guère de refus. J’étais saoul et je titubai jusque dans la salle où les gémissements et l’odeur des corps montaient. Frisia eut un geste de recul en découvrant le spectacle. Je surveillais secrètement l’espionne derrière le paravent.
    
    — Suce-moi, et ce sera bon.
    — Maître…
    — Oui. Qu’as-tu ? lui demandai-je un peu brutalement.
    — Nous ne sommes pas seuls… dit-elle, après avoir hésité.
    — Suce-moi et tu seras quitte.
    
    Elle s’agenouilla et prit ...
    ... délicatement mon sexe dans sa bouche. Elle était chaude. Du coin de l’œil, elle observait les prostituées autour de nous qui subissaient les assauts de mes invités. Ma bonne cuisinière m’offrait une belle fellation. D’abord un peu hésitante, elle gagnait en vivacité et en sensualité.
    
    Sa sœur bougea derrière le paravent. Elle avait dû reconnaître sa sœur. Cette certitude m’excita. La fellation était divine, et le spectacle orgiaque sous mes yeux décuplait mon excitation. Je me répandis enfin dans la bouche de la plébéienne en observant la réaction de son espionne de sœur. Elle me but en me regardant avec fierté.
    
    ***
    
    Le lendemain, le réveil fut tard dans l’après-midi. Après avoir émergé, je convoquai les deux sœurs.
    
    — Frisia, tu as bien travaillé toutes ces années. Tu ne seras plus en cuisine à présent. Tu t’occuperas de ma fille Graciella.
    — Merci Maître.
    
    Frisia avait seulement vingt et un ans et accédait à un poste des plus respectables. C’était inespéré pour une plébéienne. Son abnégation à mon encontre avait payé. La voilà, assez jeune, au plus respectable emploi qu’une plébéienne puisse espérer.
    
    — Pour la cuisinière en chef, je cherche la personne qui te remplacera, lançai-je, un peu évasif, en retournant me coucher dans ma chambre.
    
    Niocléa était restée en arrière, les mains dans le dos. 
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