Frisia ou La débauche romaine
Datte: 13/10/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
grp,
jeunes,
soubrette,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Partouze / Groupe
init,
historique,
historiqu,
Auteur: Apv, Source: Revebebe
... célibataires comme moi ou quelques tribuns venus s’encanailler sans leur femme. Nous prîmes nos exquises victuailles en riant et en chantant. Quelques musiciens agrémentaient l’ambiance d’harmonieuses mélodies. Le vin coulait à flot. La lune était haute dans le ciel lorsque quand je fis appeler cinq belles jeunes prostituées. Rapidement l’ivresse de mes convives se mua en déchaînement sexuel.
Deux prostituées étaient prises par trois hommes dont l’appétit s’orientait vers leur bouche. À genoux sur les dalles marbrées de la salle, les femmes suçaient goulûment les trois verges tendues. Les nobles romains se déversèrent allègrement dans les bouches avant de les prendre entre les fesses. Les prostituées riaient à gorge déployée en buvant rasade sur rasade.
Une autre, à l’autre bout du patio, entre les colonnes éclairées de flambeaux, était assaillie par le plus vieux d’entre nous. César Paulinus était un éminent patricien. Très écouté au Sénat, il était toujours intéressant de l’inviter aux orgies, qu’il affectionnait. Sa virilité était vacillante, et la femme dut faire preuve d’astuce pour réveiller mon noble ami. Léchant l’orifice anal, la professionnelle malaxait la bourse pendant qu’elle masturbait la verge presque molle.
Les deux dernières femmes se donnaient à l’avidité bestiale des autres convives. Sur la table principale, au milieu des cuisses de poulet grillées, des fruits en abondances, les prostituées, les jambes écartées, supportaient la fougue des ...
... verges en érection qui se pressaient auprès de leur sexe. Mes amis passaient les uns derrière les autres. Des blagues grivoises fusaient. À présent, le vin coulait plus sur les joues, les bras, les cuisses que dans les bouches.
Je les regardais avec beaucoup de plaisir en buvant la boisson que me servait Manio. Les spectacles orgiaques me transportaient toujours.
En général, je congédiais les serviteurs à la fin des repas, pour qu’ils n’assistent pas à mes orgies. À dessein, j’avais cependant demandé à Frisia et à sa sœur Niocléa de rester, en prétextant un éventuel service de table tardif. Je pénétrai dans la cuisine pour demander du vin, en titubant un peu. Les deux sœurs lavaient la vaisselle. Frisia avait les mains dans l’eau de la cuve et Niocléa se saisit de deux cruches qu’elle apporta dans le patio. La surprise sur son visage m’excita. D’un regard panoramique, elle inspecta la scène. Les corps enchevêtrés, sortes de monceaux de chairs, de membres et de poils, choquèrent la jeune fille. J’avais toujours trouvé cette petite un peu trop prude et naïve. Elle ne ressemblait guère à sa mère et à sa sœur.
Elle sortit sans faire de remarque.
Quelques heures plus tard, le vin aidant, mes amis continuaient leur débauche. Quatre d’entre eux se masturbaient sur la plus jeune de toutes, qui se donnait en riant grassement. Elle demeurait allongée, hilare, immobile sous les jets de sperme qui maculaient sa poitrine et son visage.
Les autres s’échangeaient les esclaves ...