1. Frisia ou La débauche romaine


    Datte: 13/10/2018, Catégories: fh, ffh, grp, jeunes, soubrette, Oral pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe init, historique, historiqu, Auteur: Apv, Source: Revebebe

    ... fait cadeau d’un collier d’ambre. C’était chose rare de ma part pour une plébéienne. Mais la jeune fille était efficace dans son service et les terres que ses parents avaient en fermage avaient un très bon rendement. Surtout j’avais bu et je concevais depuis longtemps le projet de la découvrir intimement. À entendre mes allusions – pas toujours raffinées - sur les avantages à se donner, la jeune Romaine dut concevoir le projet qui allait nourrir son ambition. Raisonnement que sa mère avait déjà échafaudé quelques années auparavant avec mon père.
    
    Ce soir-là, elle entra dans ma chambre en écartant doucement la toile pourpre qui voilait l’entrée. Son pas n’était pas tout à fait assuré. Sa tunique de toile ocre l’habillait et, les plis, savamment arrangés, exposaient avantageusement sa silhouette plantureuse. Muette, elle fit tomber son habit à ses pieds. Sa poitrine ferme et ronde mettait en valeur une taille fine et des fesses hautes. Comme toutes les femmes de sa famille, Frisia avait la peau halée et les cheveux épais et sombres. Sa toison abondait de poils noirs et frisés. Après un moment où la jeune femme demeura sous mon regard indiscret, elle pénétra ma couche.
    
    — Je vous remercie pour le collier d’ambre, murmura-t-elle, un peu honteuse.
    — Mais tu n’es pas obligée !
    — …
    — Pourquoi fais-tu cela Frisia ? demandai-je, hypocrite, en contemplant son dos nu.
    
    Ma main touchait sa peau.
    
    — Cela fait longtemps que je suis servante pour vous, maître…
    
    Pouvait-elle ...
    ... exposer plus explicitement son but et dévoiler l’inavouable vénalité de son ambition ? Serpent tentateur, je lui avais suggéré cette pomme pour assouvir mes propres désirs. Et la morale, me diras-tu ? Et la tienne, toi, qui veux te donner pour les mêmes raisons que Frisia ? Minerve, déesse de la Sagesse, pourrait-elle nous envoyer un message ? Les deux parties ne sont-elles pas gagnantes ? Je vois dans ton œil le sceptique jugement de mon immoralité. Qu’importe !
    
    Résolue et directe, Frisia saisit mon sexe qu’elle regarda longuement. La vierge n’en avait certainement jamais touché. Sa hardiesse m’excita et je la serrai contre moi, en plaçant mon érection précoce entre ses cuisses qu’elle serra.
    
    Je m’activai ainsi, en lui baisant le cou et les seins. Ma verge gonflait entre ses cuisses puissantes. Je l’embrassai et insinuai doucement ma langue dans sa bouche. Mon haleine alcoolisée ne la gêna pas. Frisia caressait mon torse poilu tout en continuant à comprimer ses cuisses afin de me sentir tout contre ses lèvres. D’un lent mouvement des hanches d’avant en arrière, la plébéienne longeait ma verge qui frottait sa petite moule. Elle savourait avec délectation la raideur de mon phallus entre ses cuisses serrées.
    
    Depuis longtemps, Frisia avait remarqué mon attrait pour la luxure. Vénale par atavisme, elle savait son ascension soumise à sa droiture, à la qualité de son service - et également à sa gentillesse à mon encontre. Je suis suffisamment ignoble pour le faire comprendre ...
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