1. Frisia ou La débauche romaine


    Datte: 13/10/2018, Catégories: fh, ffh, grp, jeunes, soubrette, Oral pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe init, historique, historiqu, Auteur: Apv, Source: Revebebe

    Écoute bien cette histoire, ma petite Romaine. Tu es nue devant moi. Vois comme mon corps a envie de toi. Mais je tiens à te conter ma vie avant que tu te donnes. J’habite Rome depuis tant d’années, et l’existence d’un aristocrate est bien vile. Sache que tu te livres à un infâme tribun de la République.
    
    Le matin, les rues de Rome étaient encombrées. Le soleil avait déjà doré les toits des riches demeures, et les esclaves, les serviteurs se pressaient pour l’achat des victuailles. Une rumeur s’élevait de la cohue des marchés. Les réceptions nocturnes des aristocrates de la cité réclamaient d’abondantes provisions.
    
    J’appartiens, comme tu le sais, à une ancienne famille aristocratique. Mon père, Cassius Bonius, était romain depuis trois générations. Il possédait quelques demeures dans la capitale et des terres aux abords de la ville. Ma mère, issue d’une famille du sud de l’Italie, avait enrichi son mari de beaucoup de terres en fermage. Nous n’étions pas de la haute aristocratie, mais nous jouissions, du fait de notre lignage, d’un certain respect.
    
    Nous étions également appréciés par le peuple car notre famille avait toujours usé de son pouvoir avec sagesse. Nous respections nos employés.
    
    Un couple de plébéiens, Poulo et Virgia, gérait l’une des fermes, située pas très loin de Rome, au-delà du mont Palatin. Ils avaient trois filles : Frisia, Niocléa et la plus jeune, Amélia. Depuis de longues années, leur famille servait la mienne. Mon père avait recruté leur fille ...
    ... aînée comme servante suite à une entrevue avec sa mère, Virgia. Cette plantureuse plébéienne avait toujours compris la nature lascive de mon père.
    
    C’était une marque d’estime que d’engager à son service une jeune fille. Ces plébéiens manquaient de garçon pour les aider aux travaux des champs. Une fille est une bouche à nourrir ; un garçon c’est des bras qui nourrissent.
    
    Quelques années plus tard, l’aînée, Frisia, était cuisinière en chef dans ma demeure romaine. Elle dirigeait trois employés et quatre esclaves. Femme de caractère, Frisia décidait tout et tout le monde obéissait. Pendant de longues années, elle avait servi la maison en tant que servante. J’avais engagé sa sœur cadette, Niocléa, lorsque cette dernière eut quinze ans. Elle apprit le service auprès de sa sœur aînée.
    
    En plein cœur de Rome, ma maison était assez vaste mais sans comparaison avec les plus nobles de mes amis. Je n’avais guère de goût pour le luxe ostentatoire. Moi, c’est plutôt la luxure ! Les marbres de Carrare, des tentures de soie, quelques mosaïques simples. Par contre j’affectionnais mon jardin intérieur. Véritable cœur de la maison, il était entouré par des colonnades richement sculptées. C’est le souvenir des ébats de ma mère qui me vaut cet attachement immodéré. Mais je te raconterai cela plus tard.
    
    Frisia avait perdu sa virginité dans mon lit le jour de sa majorité. La jeune fille avait le regard vif et la hanche aguicheuse. Sa toison fournie sentait bon. Ce jour-là, je lui avais ...
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