Frisia ou La débauche romaine
Datte: 13/10/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
grp,
jeunes,
soubrette,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Partouze / Groupe
init,
historique,
historiqu,
Auteur: Apv, Source: Revebebe
... vidé mon vin, je répondis :
— Oui ! fis-je. Ce soir, tu te donneras ou pas, c’est à ta convenance. Toutefois je souhaite que tu me réserves une nuit après ton mariage.
— Maître !
Frisia s’exclama plus par surprise que par indignation. Une étincelle s’excita au fond de son œil. Ces années à mon service avaient accru ses penchants ataviques pour les choses du sexe.
— Le veux-tu ? insistai-je.
— Oui Maître, dit-elle, assurée, en ramenant ses longs cheveux en arrière.
— Et ce soir-là, tu feras tout ce que je te demanderai ?
— Oui Maître, répondit-elle, soumise et un peu excitée.
Nous passâmes une nuit inoubliable. Au cours des années qui s’étaient écoulées, mon esclave Manio et moi avions initié ma cuisinière en chef à tous les plaisirs, et ce soir-là elle me fit l’offrande d’une sodomie des plus envoûtantes. Son cul, toujours aussi rond, se tendit à merveille. Elle accueillit ma verge avec une joie non dissimulée. La douleur des débuts avait laissé place à un désir toujours plus fort d’être socratisée. Frisia jouissait si puissamment dans ces moments-là, que je ne pouvais plus me contrôler.
Depuis, elle s’occupait uniquement de mes cuisines et rentrait rejoindre son bouvier de mari le soir. Elle paraissait heureuse. Le dernier repas qu’elle prépara fut fantastique.
***
Niocléa arpentait les étals à la recherche de mets nouveaux pour le fameux festin : des épices d’Orient, des fruits aux saveurs inédites, des viandes épaisses. Elle était suivie par ...
... un esclave du nom de Miséo. Le gaillard, d’une stature imposante, portait l’ensemble des commissions de la servante. Niocléa, à présent majeure, s’acquittait de son service avec zèle, comme sa mère autrefois avec mon père.
Miséo suivait la jeune femme et accumulait les nourritures sur ses épaules, qu’il avait solides. Malgré la discrétion et la réserve qui caractérisaient sa caste, il ne pouvait soustraire son regard à ce qu’il lui savait interdit. Les hanches de la jeune plébéienne se profilaient à travers sa tunique. Le tissu léger et blanc était si clair que la lumière du soleil matinal laissait aux regards indiscrets et impudiques le loisir d’admirer des jambes fines et des hanches vigoureuses.
Niocléa achevait le marché et commençait le retour en empruntant la place si bruyante du marché aux esclaves. Elle savait mon goût pour les jeunes esclaves venues de Gaule et elle inspectait les nouveaux arrivages. Quelques Gauloises à moitié nues étaient exposées sur une estrade et les marchands vantaient la docilité et la qualité de leur marchandise, en osant soulever les pans d’un tissu pour dévoiler une cuisse aguicheuse.
Miséo traversa le marché la tête baissée. Cette place, qu’il empruntait tous les jours avec la jeune fille, lui rappelait sa condition. Non qu’il fût malheureux : il mangeait à sa faim ; il n’était pas battu. Mais cette condition le condamnait à se soustraire à ses désirs.
***
La nuit était tombée et mes invités arrivèrent. Des aristocrates ...