1. Frisia ou La débauche romaine


    Datte: 13/10/2018, Catégories: fh, ffh, grp, jeunes, soubrette, Oral pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe init, historique, historiqu, Auteur: Apv, Source: Revebebe

    ... résultat escompté. Frisia accueillit, non sans une certaine surprise, ma semence chaude et épaisse qui jaillit par jets successifs sur ses lèvres et ses mains. Elle me regarda avec un peu d’effroi. Sa naïveté excitait ma concupiscence. Elle se nettoya avec une serviette que lui tendit Manio.
    
    Nous bûmes une petite amphore de vin des vignes que ses parents avaient en fermage. Au petit matin, ma servante s’éclipsa pour rejoindre le dortoir des servantes. Le lendemain, je nommai Frisia cuisinière en chef. Un poste convoité, puisqu’elle aurait à présent sa propre chambre et des gages plus importants. Elle me remercia et me rendit souvent visite, le soir.
    
    Peu de temps après, en visite dans mes fermes, j’allai voir ses parents et j’engageai sa jeune sœur : Niocléa.
    
    Tu es nue au pied de ma couche. Tes cheveux d’or sont, pour mon crépuscule, le soleil de la jeunesse. Ils tombent sur tes hanches comme la source de jouvence. Vois ma convoitise se dresser pour toi. Mais, laisse-moi te raconter la suite de mon histoire. La méprisable destinée d’un noble romain dont l’unique souci est d’approfondir ses vices.
    
    J’ai été marié, pendant deux ans, à une merveilleuse femme du nom de Graciella. Troisième fille d’une famille noble de Rome, sa dot fut assez mince, mais je l’aimais passionnément et mon père ne put se dérober à ma demande. Elle mourut en donnant naissance à une fille. Mon deuil dura longtemps et je me jurai que plus jamais je ne me remarierais. J’avais nommé notre fille ...
    ... du même nom que sa mère. Graciella avait onze ans à l’époque où Niocléa devint cuisinière en chef à la place de sa sœur Frisia.
    
    Les jours se ressemblaient tous. Je buvais beaucoup. Ce jour-là, le repas du midi fut frugal. J’attendais le soir de nobles amis pour festoyer. Ma cuisinière en chef, Frisia, avait dû nous préparer des agapes dont elle avait le secret. Elle ne le savait pas encore, mais ce serait là son dernier repas. Je songeais à la nommer tutrice de ma fille et à la remplacer à son poste de cuisinière en chef par sa jeune sœur Niocléa, maintenant majeure. Frisia avait tenu son rôle avec diligence et compétence durant de longues années. De plus, avant qu’elle fût mariée à mon bouvier, la plébéienne avait su faire preuve de générosité en me faisant don de ses charmes.
    
    La diablesse avait le tempérament assez chaud car, la veille de son mariage, elle vint me rejoindre dans ma couche.
    
    — Je viens pour la dernière fois, maître. Demain, comme vous le savez, je me marie. Par Junon, je tiens à être fidèle à mon mari.
    — Frisia, tu es bonne. Voilà cinq ans que tu viens régulièrement me voir et je ne t’ai jamais rien demandé.
    — Oui Maître. Je le sais.
    
    C’était l’été et une douce chaleur pénétrait la chambre. Des effluves d’épines de pin brûlées excitaient nos sens. Le silence durait.
    
    — Maître, voulez-vous me demander quelque chose ?
    
    Que pouvais-je réclamer à une femme qui s’était totalement donnée ? Mon esprit lascif engendra un obscur projet. Après avoir ...
«1...345...»