Les malheurs de Jeanne
Datte: 16/09/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
extracon,
copains,
amour,
Oral
pénétratio,
amourpass,
regrets,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... vu l’allusion à son boulot de pute domestique. Josette a un peu protesté, mais accepté.
Elle s’est présentée le lundi à neuf heures. La patronne lui a expliqué son travail et elle a de suite commencé. La femme a examiné son ouvrage. Satisfaite, elle lui a confié les clés de l’appartement afin qu’elle puisse venir le matin pendant leur absence. Il restait à Jeanne avec cet horaire, juste le temps de finir de préparer le repas chez sa sœur et d’aller chercher les enfants à l’école.
Et ainsi, pendant un mois, elle a travaillé, à la grande satisfaction de ses employeurs. La femme se libérait toutes les semaines un moment le vendredi et venait lui régler son salaire. Elle en reversait la moitié à sa sœur, en apparence, tout était parfait. Cette dernière lui confia que son mari l’embêtait moins le soir, elle se couchait avant lui et faisait semblant de dormir.
Souvent, Gérard restait à la télé avec Jeanne et se faisait tailler une petite pipe.
Un vendredi, c’est le mari qui est venu lui régler sa semaine. Il est resté un moment, admirant Jeanne qui portait ce jour là une minijupe qu’elle venait de se payer. À un moment, quand elle est passée auprès de lui, sa main lui a caressé les fesses.
— Oh, monsieur, vous n’êtes pas sérieux ! lui dit-elle.
— Quand je vous vois si belle, j’ai envie de vous cajoler.
— Mais, monsieur, que dirait votre épouse ?
— Elle ne serait pas obligée de le savoir, et de plus je vous en serais reconnaissant.
Il s’est approché, la prise ...
... dans ses bras. L’homme n’était pas trop mal, mieux que Gérard. S’il payait suffisamment, elle pouvait bien accepter sa proposition. Elle s’est laissée embrasser, il lui a touché les seins, glissé la main sous la jupe. Ce jour-là, il n’est pas allé plus loin mais lui a glissé un billet de vingt euros dans le soutien-gorge.
Jeanne s’est bien gardée de parler de ça à la maison. La semaine suivante, le mardi, elle a vu déboucher son patron vers dix heures. Dès l’entrée, il s’est approché d’elle, l’a prise dans ses bras.
— Mais monsieur, que va dire votre épouse ?
— Je lui ai dit que j’allais voir un fournisseur. Nous avons le temps de faire l’amour.
S’attendant à une attaque de ce genre, elle avait mis une robe s’ouvrant facilement. Ses seins étaient libres. Il l’a dépouillée très délicatement, lui a prodigué des caresses sur sa poitrine, a honoré le triangle. Il a mis un préservatif, il avait tout prévu.
Il l’a aimée d’une façon sensationnelle, jamais personne ne l’avait traitée aussi délicatement. Quand il est parti vers la douche, elle a remis le lit en état. Il l’a quittée en l’embrassant et lui glissant un billet de cinquante euros dans la main.
Elle a dû se dépêcher pour terminer son travail, elle avait perdu une demi-heure. Enfin pas tout à fait perdue, cinquante euros mais aussi le plaisir. Tout était parfait.
Ainsi, régulièrement, une fois par semaine, jamais le même jour, il venait lui rendre visite. C’était un emploi parfait, argent et plaisir. Un ...