1. Les malheurs de Jeanne


    Datte: 16/09/2018, Catégories: fh, fhh, extracon, copains, amour, Oral pénétratio, amourpass, regrets, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... j’avais fait. C’est une coincée du cul. Je vais essayer de la convaincre et surtout son mari. Par contre ils ont deux gosses, ils travaillent tous les deux et sont plutôt fauchés.
    
    Elle a téléphoné. Sa sœur a d’abord refusé, puis, a finalement cédé. Mais il fallait convaincre son mari. Un peu plus tard, elle a rappelé, d’accord, mais pour deux ou trois jours seulement.
    
    Dans l’après-midi, Pierre a conduit Jeanne chez sa sœur. Il l’a déposée devant la porte et a démarré immédiatement.
    
    Dès le premier soir, le beauf a fait la gueule. Jeanne n’a rien, il lui a fallu tout emprunter à sa sœur. Elle a couché dans la chambre des enfants sur un lit pliant.
    
    Le lendemain, dimanche, Josette est allée au marché avec les enfants. Gérard, son mari, est resté avec Jeanne. Cette dernière a entrepris de faire le ménage. Quand elle est passée devant Gérard, ce dernier lui a caressé les fesses. Elle s’est esquivée rapidement. Mais la fois suivante, il l’a attrapée par la taille et l’a tripotée.
    
    — Laisse-moi, ou je le dis à Josette.
    — Ben alors, tu peux foutre le camp de suite. Si tu veux rester, tu acceptes que je te baise sans que Josette ne se doute de rien. Pour commencer, tu vas me tailler une pipe, il paraît que c’est ta spécialité.
    
    Alors Jeanne n’a pu que lui obéir. Il lui a tenu la tête afin qu’elle avale tout. À midi, pendant le repas, Gérard a réglé la situation.
    
    — Si elle ne sait pas où aller, je veux bien qu’elle reste quelques jours. Mais c’est elle qui ...
    ... accompagnera les gosses à l’école, fera le ménage et la cuisine. Cela t’enlèvera du travail, tu pourras aller faire les courses sans souci.
    
    « Le salaud, il a trouvé une pute-femme de ménage gratuite. Mais je ne peux rien dire. Ma sœur, heureuse de pouvoir me dépanner sans que son mari ne crie trop, accepte. D’autant que cela la décharge des tâches ménagères. »
    
    Et maintenant, la vie est bien réglée. En présence de Josette, Gérard fait mine d’ignorer Jeanne, ne lui parlant pas, la considérant comme un meuble. Josette est heureuse de voir que tout se passe bien, juge même la situation avantageuse pour elle.
    
    Mais dès qu’elle est sortie avec les enfants, suivant le temps de libre, il la saute ou simplement se fait tailler une pipe. Il adore ça. Il lui dit constamment qu’elle leur coûte cher et qu’elle a intérêt à accepter ses exigences.
    
    Un jour, en allant chercher le pain, elle voit affichée une offre d’emploi pour une femme de ménage, deux heures par jour, cinq jours par semaine. Voulant un peu dédommager sa sœur et avoir un peu d’argent, elle s’est présentée.
    
    C’était un couple dans la cinquantaine, sans enfants. Ils possèdent un magasin de vêtements et la femme ne veut pas effectuer les tâches domestiques. Salaire, soixante-dix euros par semaine, ça la dépannerait.
    
    En rentrant, elle l’a dit à sa sœur, lui indiquant qu’elle lui verserait une petite pension. Quand Gérard l’a appris, il a dit qu’elle devrait tout de même effectuer ce qui était prévu dans la maison. Jeanne a ...
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