Lana s'éveille, Alan le retour - Histoires de Sexe

Lana s'éveille, Alan le retour

... davantage à chaque sollicitation de ce gland, rien ne perturbe cette douce pénétration. De nouveau en érection et bien excitée, au féminin.

— Waouuuh.

Surprise, mais quel coup de reins, il propulse une bonne longueur de sa hampe dans mon fourreau, un deuxième assaut et cette fois ses couilles sont en butée contre les miennes,

— Aaaah.

Petite plainte, brève douleur lorsque qu’il atteint le fond de mon rectum, mes sphincters aussi avaient un peu oublié la large base de son pénis, cela altère ce moment jusqu’alors agréable, il m’accorde une courte pause, la petite douleur est vite oubliée, sa fornication démarre avec virilité, tout en m’ordonnant,

— Branle-toi, Lana,

Je le repousse un peu pour accéder à ma petite queue toute dure et commence à masser mon gland comme j’aime le faire, Il reprend sa saillie et de nouveau :

— Branle-toi, jouis avec moi. Allez, plus vite je ne vais durer longtemps.

Il augmente son pilonnage, et moi mon massage, son souffle saccadé annonce l’imminence de sa jouissance, je me branle au maximum de mes possibilités, lorsqu’il crie :

— Oooooh, je jouis.

Planté dans mon fondement, je sens les spasmes libérateurs de sa bite, il me faut quelques secondes supplémentaires pour jouir, mais assez discrètement, dans ces conditions pas vraiment ...

... érotiques.

Il me libère le cul et lorsque je me retourne il range déjà sa queue, à son visage il semble satisfait.

— Vraiment comme tu es bonne Lana, je pense que tu vas manquer à ma queue,

Je commence à me rhabiller tout en lui lançant un petit pic :

— Allons, avec toutes tes copines de Biarritz et ta cougar esthéticienne, tu vas baiser et te vider tout ton soûl et qui sait peut-être que tu baiseras un petit mec naïf et efféminé !

Philippe me reprend de suite :

— Je vais baiser, c’est certain, comme tu dis, des gonzesses, mais sûrement pas de mec, jamais. Baiser j’en ai besoin s’est viscéral chez moi et le plus souvent possible. Mais je ne baise pas de petit mec efféminé. Je suis un hétéro exclusif, avec toi c’est différent, avec toi je ne baise ni un garçon ni une fille, je baise une ambiguïté, une analogie féminine, le désir que j’ai pour toi est unique. Maintenant, magne-toi, il faut que je te raccompagne et que je file, nous partons très tôt demain matin.

Il me dépose en bas de chez moi, on se fait la bise comme depuis le collège,

— Bonnes vacances, Alan, bye.
— Bye, toi aussi, Philipe.

La voiture démarre. Comme un gland sur le bord du trottoir, je pense, à dans une bonne dizaine semaines !

Les grandes vacances, quoi !

À bientôt peut-être, pour la suite des aventures de Lana.