Lana s'éveille, Alan le retour - Histoires de Sexe

Lana s'éveille, Alan le retour

Résumé de l’épisode 4 : «L’heure du bilan »

Alan-Lana a cédé à Philippe. Il a consommé le plaisir sodomite. Les jours passent ; sa dépravation lubrique s’intensifie ; il-elle y prend goût. Le plaisir en filigrane, la semaine passe… il est temps d’en faire l’analyse…

Les doigts enduits de gel entrent sans opposition, les mains posées sur la guêpière, il m’invite à descendre jusqu’à sa queue, me guide de ses mains, je m’accroupis, les fesses en suspension dans l’axe de ce pal sulfureux.

Une main sur ma hanche, une autre sur sa queue, il sollicite ma descente il veut que je m’embroche. Lentement je descends vers ce pal, je l’effleure, la pression s’accroît sur ma rondelle sulfureuse. Mes sphincters se dilatent, résistent sans volonté un instant et cèdent, ouvrant la voie de Sodome à ce pal majestueux.

Ma gaine lubrique enlace lascivement ce chibre, j’en frémis voluptueusement et m’empale davantage fière d’apprivoiser cette lance hors norme. Les fesses sur son pubis, je me sens pleine, comblée, il est dans les profondeurs abyssales de ma dépravation. Quelques va-et-vient et une émotion troublante m’envahit, jusqu’alors pressentie, mais jamais de manière aussi prégnante. Il devine mon émoi, me saisit les poignets, m’obligeant ainsi à m’incliner davantage, mes mains sur ses épaules, j’écarte les cuisses, de ses mains il soutient mes fesses et entame un lent coït.

Sensations inédites intenses, chaque translation m’étourdit, m’embrase, la sensualité augmente au rythme ...

... de sa queue, de son tempo encore et encore, je couine, je gémis des sons incompréhensibles. Ce plaisir est confus difficile à gérer, est-ce dû, au rythme, à la profondeur ou encore au volume de ce dard ou tout simplement le fait d’être possédée ? Totalement passive, mon seul effort est de me maintenir. Subitement son accélération est foudroyante, un coït terriblement dynamique. Les sensations érotiques m’envahissent l’esprit et le corps, mon érection est épouvantablement douloureuse, un vrai supplice que je ne peux calmer, je perds pied, étourdie, grisée.

Le monstre phallique n’en finit pas de me baiser, ses coups de reins claquent bruyamment sur mes fesses, lorsqu’un éclair charnel me foudroie, m’étourdit.

L’onde sublime me transperce, l’orgasme, la jouissance suprême, mon expression timide, une simple plainte et mon sexe écoulant son extase sur les cuisses de Philippe.

Pas d’éjaculation spectaculaire, un simple écoulement, mes bras tremblent, je suis à la limite de m’effondrer sur lui, pâmée dans cette petite mort. Il m’offre son orgasme dans les instants qui suivent de son cri bestial,

— Aaarrrh, je jouis.

J’allonge mes jambes le long des siennes, libérant son dard et sa semence de ma vulve sodomite. Je voudrais partager, lui dire l’intense jouissance ressentie, mais j’en suis incapable physiquement et intellectuellement. Le temps s’arrête un moment, je reprends vie doucement, étendu sur lui. Pour la première fois, je suis Lana, créature féminine, née d’une ...