Lana s'éveille, Alan le retour - Histoires de Sexe

Lana s'éveille, Alan le retour

... extase. Il me pousse avec douceur sur le côté et se redresse, un sourire coquin illumine ses yeux.

— Tes jolies fesses et ma modeste queue viennent de t’offrir le nirvana. Plus sérieusement, je suis heureux pour toi c’est le prélude d’une sexualité plus assumée, libérée, le signe que tu acceptes ta véritable nature.
— Je ne sais pas, peut-être, c’est bien difficile d’interpréter cette incroyable jouissance, mon expérience sexuelle avant cette semaine était si pauvre. J’imagine que je le désirais très fort et j’étais si frustrée de plaisirs exaltants avant.
— Viens, plus près de moi.

Un baiser éphémère doux, inattendu et il murmure à l’oreille :

— J’ai très envie de toi,

Je rampe vers sa bite pas tout à fait en érection je la gobe, comme une diablesse et le pompe comme si ma vie en dépendait.

Il me claque bruyamment le postérieur et d’un geste me propulse en arrière sur le dos, l’instant suivant, à genoux entre mes cuisses, il relève ma croupe, son dard dans sa main experte, le pointe et m’enfile d’un coup sans autre forme de préparation. Facilement il pénètre ma vulve dilatée, malgré ses manières assez rustres c’est merveilleusement agréable dès que je le sens en moi.

Quelle différence pas d’appréhension, de douleur, pas d’oppression, je m’offre sans retenue, libérée par mon extase et modelée par ses nombreuses pénétrations de ces derniers jours. Libéré de mes peurs, de mes tabous, l’esprit en paix je m’offre pleinement.

Il s’agite comme un fou ...

... furieux, que de sensations agréables. Il aime me sodomiser, prendre son plaisir en moi. Le rythme dingue de sa pénétration l’amène assez rapidement au bord de sa libération orgasmique,

— Aaarrrh, je jouis.

Il jouit, féconde sa femelle, je ressens à peine les spasmes de sa verge éjaculant. Bien que viril, j’ai apprécié son assaut. Mais incapable de la moindre excitation, ce premier orgasme sodomite m’a dévasté, trop puissant, trop cérébral, il habite encore mon esprit.

Un moment plus tard, nous filons vers la douche, une main sur mon anus pour éviter les fuites. Sous la douche Philippe se charge de ma toilette, il me sèche, me chatouille, l’ambiance euphorique, détendue.

Après, direction la cuisine, nous avons sauté le petit déjeuner, je m’occupe de préparer un en-cas pour le déjeuner et Philippe part à la cave nous chercher du chablis.

L’après-midi une longue sieste méritée, une petite balade et encore du sexe, il prend plaisir à me pénétrer avec peu de préparation et je l’accueille spontanément. Pas de nouvel orgasme anal, mais beaucoup de plaisir, d’excitation, mes doigts me font jouir. Ce jeudi, il me possédera cinq fois et je le ferai jouir deux fois avec ma bouche, dont la dernière avant de sombrer pour la nuit. Une journée record pour lui et mémorable pour moi.

Le vendredi septième jour, une journée comme les autres ou presque. Le sexe est toujours l’activité principale. Le fait nouveau de cette journée, mon attitude sexuelle.

Je suis toujours passif enfin ...