Lana s'éveille, Alan le retour - Histoires de Sexe

Lana s'éveille, Alan le retour

... bas et termine sur ses beaux abricots lissent et chauds. Le maître et la bête sortent de leur léthargie, je l’embouche amplement et le pompe avidement, je la veux turgescente, exacerbée d’excitation. Pour la première fois, je réclame l’ignominie, je réalise son rêve prémonitoire !

— Philippe, baise-moi, baise Lana !
— Mais assume ton désir, viens t’empaler sur ma queue.

Je le pompe encore quelques instants et d’un mouvement énergique, je me relève et l’enjambe. Il est toujours affalé, pas tout à fait allongé, son cul au bord du canapé.

Mes yeux dans les siens, je pose les genoux de part et d’autre de ses cuisses, je relève les fesses, de la main droite je saisis son pieu, je le guide vers mes lèvres anales.

Sans aucune préparation, ni artifice, juste les vestiges de mes récentes sodomies, je m’empale délicatement.

Cette queue s’introduit avec une facilité déconcertante, je l’accueille évidemment.

Mes fesses rondelettes se mettent en action, elles montent et descendent en dépliant et pliant les genoux tout en tentant de maintenir mon bassin dans l’axe de sa queue.

C’est une sensation différente que d’être aux commandes, c’est plaisant, mais difficile d’accélérer le rythme et de rester sensuelle, je perds vite l’équilibre et le tempo est assez brouillon.

Me sentant empruntée, il vient à mon secours, les deux mains sous mes fesses, il me soutient, pour garder l’équilibre je cramponne fermement ses épaules, je suis plus stable et mon bassin plus ...

... libre.

Je me lance dans cet exercice d’auto-sodomisation avec une cadence plutôt lente, je dois d’abord maîtriser mes mouvements. Une fois le tempo plus assuré, j’accélère, j’ajuste l’amplitude, j’adapte le dandinement de mon bassin pour accentuer les frictions de ce gros pénis sur mon fourreau anal.

Je m’empale à bon rythme depuis un moment, je suis très excité, mon micro-pénis est dans tous ses états ! Il profite des effleurements pour se caresser sur le ventre de mon amant.

Je mets toute ma volonté dans ma sodomie. J’ai du mal à conserver ce rythme, les sensations sont délicieuses et à la fois prégnantes. Ma détresse sensuelle se ressent, Philippe vient à mon aide, il active son bassin créant un déclic voluptueux, je manifeste ma volupté, par des sonorités incontrôlées, animales.

Mon tempo est désordonné, mes bras faiblissent, mes cuisses fatiguent, Philippe me saisit par la croupe, la relève et entame un pilonnage dont lui seul est capable, je hurle ;

— Aaarrrrh, Ooooouii, Ooooouii, Ooooooh.

Aucune traduction, ça n’a aucun sens, si ce n’est d’annoncer un cataclysme orgasmique, mes sens sont en ébullition, je suis ivre de plaisir, je perds toute lucidité lorsque de vigoureuses ondes sensuelles me traversent de part en part, mon cul émet des tonalités sordides, enfin l’orgasme si précieux ;

— Oooh-Ooooouiii.

Dernière plainte et le sperme s’écoule de ma verge sur le ventre de Philippe, je jouis, l’esprit embrumé. Dans un état proche de l’évanouissement, je ...