Lana s'éveille, Alan le retour - Histoires de Sexe

Lana s'éveille, Alan le retour

... copains et copines de vacances, il y va depuis son enfance, j’imagine qu’il sait déjà lesquelles il va baiser !

Je l’écoute sans l’entendre, tout cela me semble bien singulier, il y a huit jours j’étais Lana et il me baisait comme un fou, huit jours plus tard, je ne suis plus qu’Alan le vieil ami, difficile de gérer.

Je suis perdu, quelque chose sonne faux. 23 h passé, il est l’heure de séparer, il est venu en voiture, il propose de me raccompagner.

OK, nous sortons et nous nous dirigeons vers l’accès piéton du parking souterrain, niveau -3, les escaliers et nous somme devant sa Renault 5, le parking, est silencieux, personne en cette veille de grand départ.

Philippe les clés à la main s’adresse à moi, de suite je reconnais son intonation de mâle,

— Lana déshabille-toi je te veux nue, devant la voiture.

Surpris une seconde, puis je réponds :

— Mais Philippe, non, s’il ne te plaît, pas ici à Rueil, on connaît plein de monde.
— Il semble que tu n’as déjà oublié mes conditions, tu es mon amante et je te prends où et quand je veux. Allez, à poil dépêche-toi.

Heureusement c’est l’été, je suis un avec tee-shirt en bermuda sans sous-vêtements et des converses basses sans chaussettes. Une fois nue, sauf les converses. Il s’approche de moi, baisse son jean au niveau de ses cuisses,

— Allez, suce.

Je m’agenouille sur le sol, il s’appuie sur le capot de la voiture, j’embouche son chibre toujours si rigide, je le suce et instantanément, les souvenirs et le ...

... plaisir d’avoir sa queue dans ma bouche m’envahissent, me gagnent bien que la situation et son ton dominateur n’y soient pas propices.

Je me donne avec application, je lèche je branle, elle me rend gourmande cette queue.

De la tige à ses couilles en passant par son gland, je ne néglige rien. Il me tient par les cheveux et ne semble pas pressé de jouir. La situation ne m’empêche pas de m’exciter sérieusement, il le voit :

— Eh bien, ma salope, elle t’excite toujours autant,

Je ne suis pas à l’aise, nue dans ce parking public dans ma ville,

— Debout, penche-toi les mains sur le capot.

J’obéis, à peine suis-je en position, qu’il s’accroupit et commence par me lécher le cul, intuition connaissant l’animal, je me suis préparée avant de sortir, j’espérais un moment sensuel avec lui, mais pas dans ces conditions, pas dans un parking.

Il me mange et je retrouve un peu de ces sensations qu’il m’a fait découvrir, j’adore cette caresse, ses doigts s’infiltrent dans mon anus, encore bien réceptif après une semaine de repos.

Il a tout prévu encore une fois, le lubrifiant, une petite fraîcheur due au gel, rapidement ses deux doigts me pistonnent, je m’ouvre très rapidement sans effort ni douleur, il se relève et je le sens prendre sa queue en main et s’approcher.

Calmement il cale son gland devant les lèvres de ma rosette assouplie et d’une poussée, il entre son gland et se retire immédiatement.

Il répète ce mouvement quelquefois, plutôt agréable, je m’ouvre ...