1. Tel est pris qui croyait... (sur)prendre.


    Datte: 20/08/2022, Catégories: fh, ff, 2couples, couplus, candaul, Collègues / Travail poilu(e)s, fépilée, vacances, plage, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation caresses, Oral pénétratio, couple, Auteur: Enzoric, Source: Revebebe

    ... bagage.
    
    J’ai à plusieurs reprises aperçu Alfred au travail, mais sitôt me voyait-il que, soit il changeait de direction, soit il faisait demi-tour. Ni Lou ni moi ne comprenions un tel changement d’attitude. Avions-nous, elle en leur proposant ce qu’elle ne voulait n’être qu’un jeu, et moi en lui offrant ma femme abusée ? Ils se disaient libertins pourtant !
    
    Lou semblait se renfermer à chaque fois que je lui apprenais qu’Alfred m’évitait. Elle ne me le disait pas, mais je sentais que la situation la tracassait. Alors j’ai fait des recherches, auprès des collègues dans un premier temps, qui me confirmèrent qu’il était toujours marié et aussi drôle, puis sur le net.
    
    — Regarde Mamour, ils organisent une soirée enchères dans quinze jours, lui montrais-je d’un flyer sur mon smartphone ma découverte.
    — Oui, je sais.
    — Ah bon ! Pourquoi tu m’as rien dit ?
    — Sais pas. J’aurais dû ?
    — Bah… j’avais l’impression que ça te tracassait.
    — C’est vrai que j’ai trouvé bizarre qu’ils nous évitent, mais bon, personne n’a forcé personne ! Et puis ça change quoi après tout. Les vacances sont loin et la vie continue.
    
    Elle n’avait pas tort. À notre reprise du travail, une de ses collègues était en arrêt du fait d’une grossesse compliquée, alors, persuadé que c’était la fatigue et non ce que j’imaginais, apparemment à tort, je considérai le sujet clos.
    
    Après dîner on regarda un téléfilm sans grand intérêt, puis elle monta se coucher en bâillant. Dernière cigarette fumée en ...
    ... rechargeant les gamelles de croquettes, après avoir caressé nos trois vieux chats, je montai, moi aussi fatigué. La télé étant éteinte, je m’allongeai en prenant soin de ne pas même effleurer le corps de mon épouse, semblant déjà au pays des rêves. Ravalant mon espoir d’un câlin, et mon envie de soulager l’érection qui se frottait à la couette, j’ai sursauté lorsqu’elle me toucha.
    
    — Je te fais peur maintenant ?
    — Non ! Tu m’as surpris. Je croyais que tu dormais.
    — Bah non… T’espérais quoi en me disant pour la soirée enchère ?
    — Rien. Juste te mettre au courant.
    — Et c’est tout ?
    — Oui.
    — Vraiment, insista-t-elle en me prenant la main.
    — Vraiment, Mamour, répondis-je sincèrement tandis qu’elle guidait ma main sur son sexe.
    — Vraiment, vraiment ?
    — Vraiment vraiment, répétai-je en amorçant une douce caresse. Quoi d’autre sinon ?
    — J’sais pas moi. À toi de me dire pourquoi tu bandes.
    — Ce serait insultant si je ne bandais pas en te branlant, non ?
    — Oui, mais tu bandais déjà, avoue !
    — Qui ne banderait pas de savoir sa femme nue à l’attendre ?
    — Arrête ! Devant la télé tu bandais.
    — T’étais contre moi, Mamour. La main sur ma cuisse.
    — Exact. Et là aussi tu bandais déjà.
    — Qu’essayes-tu de me faire dire ? Que je suis en manque ?
    — Non ! Je le sais ça ! Et je suis désolée. Le taf.
    — Je sais. Et je te reproche rien.
    — Même pas de devoir te branler en cachette ?
    — Hein ! N’importe quoi !
    — Quoi ! Y’a pas de mal de se faire du bien si ?
    — Non. Mais je préfère de ...