1. Tel est pris qui croyait... (sur)prendre.


    Datte: 20/08/2022, Catégories: fh, ff, 2couples, couplus, candaul, Collègues / Travail poilu(e)s, fépilée, vacances, plage, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation caresses, Oral pénétratio, couple, Auteur: Enzoric, Source: Revebebe

    ... femme jouir d’un autre et de bander ?
    — Je… je sais pas.
    — Moi ce que je sais, c’est que t’es pas sale. Et pas salie. T’es ma femme. La seule femme que j’aime. N’en doute jamais, Mamour. Jamais !
    
    Elle avait encore le visage humide, mais la source était tarie.
    
    — Tu m’aimes encore alors ? Même après…
    — Comme au premier jour.
    
    Dubitative, elle me jaugea. Rarement, pour ne pas dire jamais, elle ne m’avait regardé ainsi. Si interdite, si peu… sûre d’elle.
    
    — Tu m’en veux pas, alors ?
    — T’en vouloir ! Mais de quoi ?
    — Bah de…
    — Tu te poses trop de questions, Mamour. Beaucoup trop.
    — C’est normal, non ? après que…
    — Après que quoi ?… Dis. Dis-le.
    — Après qu’un autre…
    
    Yeux fermés ses pleurs reprirent. Je ne savais plus quoi dire, à court d’arguments. Sa respiration redevenait agitée. Trop. Et ce silence devenait pire que les mots tus.
    
    — Amour, paniqua-t-elle lorsque je rompis le contact. Me quitte pas !
    — Je pars pas, je vais juste à ma place.
    
    Me levant, je reposai ma main droite sur son flanc. Tout en me déplaçant, je la laissai traîner sur elle. Partie du flanc, elle longea sa cuisse, puis passé le genou, elle suivit le mollet. Arrivée à la cheville elle passa sur l’autre.
    
    — Non, tenta-t-elle de m’en dissuader lorsqu’elle sentit mes mains lui écarter les jambes ! Non je suis sale !
    — Si c’est vraiment ce que tu crois, alors laisse faire.
    
    Elle abandonna, s’abandonna à moi, son mari. Si elle ne résista pas. Plus. Elle mit cependant quelques ...
    ... minutes avant d’apprécier. Elle jouit sans attendre de ma langue. Pas plus bruyamment qu’avec Alfred, mais plus librement. Plus amoureusement.
    
    Elle tremblotait encore lorsque j’ai posé mon gland entre ses lèvres. Je la regardais, conscient qu’elle venait de jouir et que je devais attendre. Mais je voulais qu’elle sache que j’étais prêt. L’attente fut brève, et l’invitation simple.
    
    — Mon amour. Mon amour à moi.
    
    Ces quelques mots me comblèrent plus que tout. M’aurait-elle dit plus que j’aurais été déçu. Alors j’ai repris possession d’elle. Comme elle aime. Comme j’aime.
    
    D’abord d’une lente avancée, puis d’un aussi lent retour en arrière, tout en admirant ma queue luire du plaisir qu’on venait de lui donner, recouverte çà et là de quelques profonds restes que je remontais à la surface.
    
    À la seconde poussée, je m’allongeai sur elle. On a joui en missionnaire, yeux dans les yeux. Elle avait retrouvé le sourire, et moi la femme que j’aime.
    
    ooOoo
    
    On n’a pas cherché à les éviter. On est allé à la plage, on a assisté et perfectionné nos pas de danse, on s’est baladé dans tout le camp, mais on ne les croisa plus.
    
    Sans réellement en parler, on était d’accord : on ne pouvait pas partir sans leur dire au revoir. Alors on a frappé à leur porte.
    
    — Ah ! c’est vous, nous accueillit Germaine !
    — Oui. On vient vous prévenir que les vacances sont finies pour nous.
    — Ah ! Bah… bon retour.
    
    Épiloguer semblait inapproprié, alors on a dit en cœur « merci » et on a plié ...