1. Tel est pris qui croyait... (sur)prendre.


    Datte: 20/08/2022, Catégories: fh, ff, 2couples, couplus, candaul, Collègues / Travail poilu(e)s, fépilée, vacances, plage, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation caresses, Oral pénétratio, couple, Auteur: Enzoric, Source: Revebebe

    ... ressenti jusqu’alors une telle appréhension chez elle. Elle avait toujours été une femme forte. Souvent plus que moi.
    
    — Ça va, Mamour, tout va bien. Je suis là. Je t’aime.
    — Je suis désolée, amour. Je voulais pas. Promis. Ça devait être qu’un jeu. Qu’un con de jeu. Tu te rappelles quand on s’est endormi sur la terrasse. Quand je me suis réveillée, ils étaient devant l’entrée. Ils avaient l’air d’attendre. Tu dormais encore alors j’suis allée les rejoindre. On a discuté. Eux surtout. Ils m’ont avoué qu’ils étaient libertins. J’avais beau leur dire que pas nous, que je ne voulais rien savoir, qu’on était simplement en vacances, ils ont continué. C’était bizarre. Ils me racontaient leur vie, ce qu’ils aiment dans le naturisme, et dans le libertinage surtout. Et plus je leur disais qu’on était pas comme eux plus ils continuaient. Ils ne cherchaient pas vraiment à me convaincre, mais c’était comme s’ils avaient besoin de le dire. C’est surtout elle qui parlait. Lui, il confirmait plus qu’autre chose. Dès que Germaine a commencé à m’avouer qu’Alfred aimait la voir avec un autre homme, et qu’elle aimait le faire avec d’autres devant son mari, il a bandé. Je sais pas ce qui m’a pris. Je te jure que c’est sorti comme ça. Ils se confiaient alors je leur ai dit que toi aussi… enfin… que parfois quand on faisait l’amour tu me disais que… Je m’en voulais d’avoir dit ça. J’étais mal. Gênée. Eux ils souriaient en regardant derrière moi. J’ai cru que t’étais réveillé, et que c’était à ...
    ... toi qu’ils souriaient. Mais non ! Tu dormais toujours. Et tu bandais. C’est là que j’ai eu cette idée à la con. J’te jure que je voulais que te rendre jaloux. Pas plus. Mais j’ai déconné. Ça a dérapé. Pardon, mon amour. Pardon.
    
    Depuis le premier mot, ses yeux brillaient. J’ai regardé ces larmes dévaler ses joues comme la preuve, s’il m’en fallait une physique autre que cet aveu, de son amour pour moi. Je sentais qu’elle avait besoin de tout me raconter, alors je l’ai laissée déballer son sac.
    
    — Tout va bien, Mamour. Tout va bien la rassurai-je en lui essuyant enfin ses pleurs. Je t’aime.
    — Moi aussi je t’aime. Mais j’ai merdé. J’aurais pas dû…
    — Tu n’as rien fait de mal ! Tu as juste laissé faire les choses.
    — Non ! J’aurais dû arrêter. Tout arrêter avant que ça dérape.
    — Rien n’a dérapé, Mamour. Et moi non plus je n’ai rien arrêté. Pire ! C’est moi qui ai dit oui.
    — Non ! c’est pas toi ! C’est moi. Moi la seule coupable. Et maintenant je me sens sale, salie, pleurait-elle plus encore en se frottant le sexe.
    — Non, Mamour. Non. T’es pas sale ou salie. J’étais là, présent. Je pouvais tout arrêter, mais j’ai laissé faire. Et j’ai aimé ça. Tu ne voyais pas, mais je bandais. Je bandais depuis le début. Je bandais quand il t’a prise. Je bandais quand tu as joui. Et regarde je bande encore.
    — C’est… c’est une réaction normale.
    — Normale, haussais-je le ton ! Tu crois que c’est normal qu’un homme bande de voir sa femme baisée par un autre ? Que c’est normal de voir sa ...
«12...293031...»