Tel est pris qui croyait... (sur)prendre.
Datte: 20/08/2022,
Catégories:
fh,
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Collègues / Travail
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Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
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Oral
pénétratio,
couple,
Auteur: Enzoric, Source: Revebebe
... crois plutôt que c’est d’avoir imaginé ta femme faire envie à d’autres, moi !
— Aussi, oui. Difficile de le nier, en effet.
— En attendant, si plutôt qu’imaginer, tu profitais de ta femme, prit-elle la pose !
— L’un n’empêche pas l’autre, tu sais, dis-je en la pénétrant en levrette !
ooOoo
S’allonger sur le ventre n’est pas la position idéale pour dormir. Enfin, pour moi du moins ! D’autant que cette brève conversation, couplée à la même pose m’ayant permis de détailler il n’y avait que quelques heures, corps, et sexes surtout de nos partenaires de danses, avaient produit le même effet. À mon réveil j’avais l’impression de ne pas avoir débandé de la nuit.
Lou dormait encore. Sans bruit, je suis allé aux toilettes puis je suis revenu la contempler, admiratif. Allongée sur le dos, cuisses légèrement écartées, je me suis félicité d’avoir laissé toutes ses chemises de nuit chez nous. Étrange constat que d’être plus excité de la voir dormir nue alors que depuis peu nous l’étions quasiment en permanence. Germaine avait sans doute raison, réalisai-je enfin en repensant à ce qu’elle nous avait dit : « c’est pas la nudité qui est érotique. Quand tout le monde est nu, on ne voit plus les corps pareils ».
Je l’ai regardée un long moment, laissant grandir en moi un plaisir nouveau. Parcourir simplement des yeux chaque millimètre carré du corps de ma femme me la rendit encore plus désirable, et moi fier d’être son mari. Étrangement, je n’avais pas la moindre envie ...
... d’en profiter autrement. Alors j’ai imprimé en moi chaque détail de ce qu’elle m’offrait ainsi, somnolente.
Partant de son bras gauche, qu’elle avait replié au-dessus de sa tête, je me suis d’abord attardé sur l’alliance. Des milliers de fois, je l’avais déjà vue pourtant, mais ce matin-là, sans comprendre pourquoi, je la trouvais plus brillante, et surtout plus symbolique que jamais. Plus encore que le jour où je lui avais passé au doigt. J’en avais les larmes aux yeux.
Larmes qui coulèrent lorsque mon regard buta sur son bracelet.
Je lui avais offert lors de notre première Saint-Valentin. Bien qu’en or, il était un peu usé et terni de n’avoir jamais quitté son poignet. Elle avait été catégorique le jour où je lui avais suggéré de lui donner un coup de neuf : « même morte on m’enterrera avec, OK ! » Ce jour-là aussi j’avais pleuré comme un gosse.
Après avoir parcouru son bras, que je trouvai charmant et plus musclé que je l’imaginais, passé l’aisselle déjà brillante de si bon matin, je me surpris d’ignorer qu’elle avait un sein légèrement plus volumineux que l’autre. Bien que cette zone, pour beaucoup, soit érogène, chez elle cette partie est trop chatouilleuse. Pour autant j’aurais dû, depuis tant d’années, remarquer cette légère différence. Mieux vaut tard que jamais, me rassurai-je avant de me décider à découvrir plus finement un corps que je pensais connaître pourtant.
Son ventre, s’il avait perdu en arrondi de cette horizontale posture, me creusait plus ...