1. Tel est pris qui croyait... (sur)prendre.


    Datte: 20/08/2022, Catégories: fh, ff, 2couples, couplus, candaul, Collègues / Travail poilu(e)s, fépilée, vacances, plage, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation caresses, Oral pénétratio, couple, Auteur: Enzoric, Source: Revebebe

    ... réellement en avoir conscience dans un premier temps, puis consciemment ensuite, je me suis mis à comparer ces trois corps somnolents, m’attardant plus sur deux.
    
    Plus pulpeuse que mon épouse, Germaine avait, de mon point de vue, un cul fort agréable à regarder.
    
    Lorsqu’elle se retourna, je stoppai d’un chut muet son envie de révéler ma présence. En appui sur ses coudes elle me regarda, d’abord étonnée que je la fasse taire, puis elle me sourit avant de s’allonger. Tête en appui sur mes mains, je fis alors la comparaison de ce qu’elle exposait à un mètre de moi, à savoir un sexe aussi touffu que celui de ma bien-aimée était lisse et doux.
    
    J’allais me lever lorsqu’elle écarta les jambes. Cette ouverture m’offrit alors une vision tout autre. Si elle avait le pubis d’un noir bouclé, dessous cette luxuriante garrigue gisaient les deux lèvres les plus charnues que toutes celles que j’avais déjà vues. Sur le net surtout.
    
    Lorsqu’elle posa son pied sur le mollet de son mari, il se retourna. Nos regards se croisèrent. Tout comme Germaine, il m’a souri puis s’est rallongé, sans que je n’aie besoin de lui demander de se taire. Tout comme sa femme, il a écarté ses jambes. Tout comme je venais de le faire, j’ai alors plongé mon regard entre.
    
    Le contraste entre ces deux sexes, dont l’un semblait être à l’abandon total, niveau entretien j’entends, alors que l’autre était aussi rasé que le mien me surprit. De ne pas avoir remarqué qu’il avait couilles et corps entièrement ...
    ... glabres me fit m’attarder sur ce double de moi-même.
    
    Fut-ce de me savoir les regarder, ou le pied de sa femme qui lui caressait le tibia qui la réveilla cette queue ? Je l’ignore. Mais c’était la première fois que je contemplais un sexe masculin, autre que le mien évidemment, s’ériger ainsi. Alors je l’ai fixé et, étonnamment, j’ai trouvé beau ce début d’érection. Voir ce sexe sortir de sa léthargie, le voir passer d’inerte à demi-molle, puis fièrement tendu, me fascinait. Étrange ressenti que d’admirer ce petit bout de chair sans vie grandir jusqu’à devenir aussi dur que le mien qui se frayait une place dans le sable. Il bandait, je bandais, et le sexe de Germaine brillait dans les rayons du soleil. Ils me savaient voyeur, et je les contemplais exhibitionnistes, tandis que ma femme bronzait sans se douter de rien.
    
    Je crois que si elle ne s’était pas retournée, l’instant aurait certainement glissé vers une masturbation à trois mains.
    
    — T’es là depuis longtemps ?
    — Pas trop. Je ne voulais pas te réveiller.
    — Ouais… T’as plutôt profité de la vue, coquin.
    — Oh ! Si un mari ne peut plus admirer sa femme, tout part vraiment en couille alors !
    — Ouais. Sa femme, mais pas que, dit-elle après avoir constaté la pose de sa voisine, et l’érection d’Alfred surtout.
    
    Il était inutile de nier, aussi me contentai-je de sourire.
    
    — Ça t’excite ?
    — Toujours tu m’excites, Mamour.
    — Pas sûre qu’y’ait qu’moi qui t’excite. Mais bon, après tout c’est toi qui organises !
    
    Cet aveu me ...
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