1. Tel est pris qui croyait... (sur)prendre.


    Datte: 20/08/2022, Catégories: fh, ff, 2couples, couplus, candaul, Collègues / Travail poilu(e)s, fépilée, vacances, plage, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation caresses, Oral pénétratio, couple, Auteur: Enzoric, Source: Revebebe

    ... T’attends quoi ?
    
    Le dîner fut sympa. Même si la conversation tourna essentiellement autour du naturisme, dont ils nous firent l’éloge sans pour autant tenter de nous rallier à ce style de vie.
    
    — Comme toujours, t’avais raison. Ils sont sympas.
    — Oui. Et tu sais quoi. Ils m’ont presque convaincue.
    — Convaincue qu’il sont sympas ?
    — Au naturisme, couillon.
    
    J’étais abasourdi. Je m’étais donné une semaine pour faire voler en éclat ses préjugés, et il avait suffi d’une soirée pour que deux presque inconnus la rallient à ma cause. Sans même le savoir sans doute !
    
    — T’es sérieuse, là ?
    — Oui.
    — Tu veux dire que t’es prête à te balader nue ?
    — Oui. Pas toi ?
    — Moi ! Si, bien sûr ! Mais je ne pensais pas que toi, tu…
    — Arrête, me coupa-t-elle ! On n’est pas ici par hasard.
    — Non. Mais je ne pensais pas que tu basculerais si vite de l’autre côté.
    — Et pourquoi pas ! Ils ne sont pas plus beaux que nous !
    — Dans ce cas…
    
    Ces quelque cent mètres furent les plus extraordinaires de ma vie. Marcher à la lueur jaunâtre du balisage, en tenant la main de mon épouse qui ne semblait pas gênée, presque plus ravie que moi d’être nue me combla comme jamais.
    
    — Attends, faut se rhabiller, lui dis-je alors qu’elle s’apprêtait à franchir le portail.
    
    Sans se presser, on a fait les deux cent cinquante derniers mètres comme deux gosses. J’étais aux anges. Même si à cette heure matinale on ne croisa personne, chaque pas nous menant au logis effaçait, un à un, les détours ...
    ... que j’avais prévu d’emprunter. Tant et si bien qu’enfin arrivé à destination, j’étais résolu à brûler toutes les étapes que j’avais si soigneusement programmées.
    
    ooOoo
    
    J’étais encore fatigué lorsque j’ouvris les yeux, mais m’offrir quelques heures supplémentaires de sommeil risquait de mettre en péril ma détermination.
    
    Lorsqu’elle se leva enfin, tout était prêt. Son bol n’attendait qu’à être chauffé, deux croissants, enfin, ce qui dans ce pays devait l’être, trônant à côté.
    
    — Tu sais que je t’aime, toi !
    — Oui. Moi aussi je t’aime, Mamour.
    — T’as fait les courses, s’étonna-t-elle de voir trois sacs devant la porte d’entrée ?
    — Oui.
    
    Après lui avoir fait un chaste bisou sur le front, j’ai filé dans la chambre. Sans doute pensa-t-elle que j’allais me doucher, aussi mit-elle simplement à chauffer son lait en baillant.
    
    Ce qu’elle ignorait encore était que j’avais décidé de battre le fer tant qu’il était encore tiède. Elle m’avait tendu une perche monumentale il n’y avait que quelques heures, et si je voulais en profiter, je devais, quitte à en subir les foudres de ma Lou, ne pas laisser retomber la mayonnaise.
    
    J’avais très peu de temps, aussi fis-je au plus rapide. Elle lavait son bol lorsque je la rejoignis.
    
    — Pourquoi t’as fait la valise ? On part ?
    — Oui.
    — Ha ! Dommage… c’était pas trop mal ici.
    
    Sans poser plus de questions, elle passa le mini-short que je lui tendis. Pendant qu’elle fumait, j’ai chargé le peu de bagage dans le coffre, puis j’ai ...
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