1. Tel est pris qui croyait... (sur)prendre.


    Datte: 20/08/2022, Catégories: fh, ff, 2couples, couplus, candaul, Collègues / Travail poilu(e)s, fépilée, vacances, plage, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation caresses, Oral pénétratio, couple, Auteur: Enzoric, Source: Revebebe

    ... attendu qu’elle finisse sa cigarette. Installée, elle boucla sa ceinture de sécurité puis me dit :
    
    — Si tu comptais me surprendre, c’est raté.
    — Te surprendre, non ! Sauter sur l’occase, plutôt.
    
    Elle est maligne ma femme, et surtout elle me connaît très bien. Trop pour que je puisse la surprendre à l’évidence.
    
    Moins de dix minutes plus tard, je posai valise et sachets de victuailles au numéro 312.
    
    — J’espère que ce que tu m’as dit hier soir…
    
    Je la cherchai des yeux, mais elle avait disparu. Je la croyais dans la chambre, mais je la découvris confortablement allongée sur le transat de la terrasse à profiter du soleil.
    
    — Attends, je vais chercher la crème solaire.
    
    Je l’ai généreusement tartinée, appréciant la vue de ce corps nu briller comme jamais. Pour le coup, ce fut moi le plus surpris. Non qu’elle tienne parole, elle va toujours au bout de ses engagements, et ne dit jamais rien sans le penser, mais surtout de la découvrir d’un autre œil. La nudité qu’elle exposait si naturellement aux yeux de tous me sidérait.
    
    Sans qu’elle n’ait jamais eu réellement honte de son corps, durant longtemps sa pudeur m’avait privé d’admirer la beauté de celui-ci en plein jour. Alors, la découvrir si à l’aise, si calme, me foudroyait d’un sentiment plus intense encore que l’envie d’en profiter. J’étais charmé plus qu’excité, respectueux plus qu’envieux. Le cœur, débordant d’un amour platonique, je suis rentré ranger valise et courses. Puis le soleil étant au zénith, j’ai ...
    ... déroulé le store banne et me suis endormi à l’ombre, tout aussi nu qu’elle.
    
    Des murmures m’ont réveillé. Rien de compréhensible, mais une intonation que je reconnus de suite chuchotait non loin. J’ai mimé dormir, tendant l’oreille. Mais je ne discernais qu’un brouhaha inintelligible. Il me suffisait d’ouvrir, ne serait-ce qu’un œil pour voir avec qui elle conversait, mais j’ai préféré imaginer. L’imaginer. D’autant que je savais avec qui elle était. C’est pourquoi m’immiscer dans cette conversation aurait brisé le charme de ce que j’imaginais. : je les visualisais, tous les trois aussi nus que je l’étais, debout dans l’allée. Que se disaient-ils ? Je m’en foutais royalement. Seul importait qu’elle, ma femme, parle avec eux.
    
    Une planche des trois marches en bois menant à la terrasse grinça.
    
    — Arrête de faire semblant, je sais que t’es réveillé.
    — Ha ! Comment tu savais que…
    — T’as bandé comme un âne ! Bien bâti selon Germaine, d’ailleurs.
    — Hein !
    — J’déconne. Elle l’a pas dit, mais j’ai bien vu qu’elle te lorgnait. Ils venaient pour nous inviter à dîner ce soir. J’ai décliné.
    — T’as bien fait. On va pas passer toutes les vacances avec eux non plus !
    — Non. Mais la moindre des politesses est de rendre leur invitation d’hier soir, non ? Ils viennent pour vingt heures.
    
    On a passé une bonne partie de l’après-midi à se balader et découvrir les installations mises à disposition des vacanciers. Étrangement, nous promener nus au milieu d’autres, pour certains seuls ...
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