1. La confession de Marie - Parfois, le bonheur est simple...


    Datte: 13/01/2018, Catégories: fh, couple, amour, Auteur: Strawberry, Source: Revebebe

    ... boulot, Paul ne me trouva pas derrière la porte comme à l’accoutumée, là où je passe mes bras autour de son cou, l’embrasse et prends des nouvelles sur sa journée. Quelquespost-it soigneusement placés sur sa route me permirent de le lancer sur un jeu de piste dont j’étais l’arrivée. De la chambre conjugale, je l’attendais comme une gamine, piaffant d’impatience. J’ai entendu la porte s’ouvrir, les bruits de pas dans le couloir, une pause ; à présent c’était l’escalier qui grinçait…
    
    Quand Paul ouvrit la porte, il me trouva étendue sur le lit. J’avais enfilé ma lingerie de jeune mariée, consistant en un assortiment avec soutien-gorge, porte-jarretelles et bas d’une blancheur virginale. La pauvre culotte devait se sentir bien seule dans ce grand tiroir… J’avais également sorti du placard les accessoires de cette grande journée : les gants, les escarpins, la couronne de fleurs en guise de serre-tête, et je tenais entre mes bras un bouquet. En le voyant apparaître au pas de la porte, je lui ai offert mon plus joli sourire, me tournant vers lui dans une impudeur totale afin de ne lui cacher aucun détail. Bon anniversaire, mon amour ! Que vous dire de plus, sinon que la suite fut torride à souhait, et, oh mon Dieu, que ce fut bon ! D’ailleurs, quand j’y repense… Hem, poursuivons.
    
    Au final, j’avais au moins autant profité de mon cadeau que lui. Quant à Paul, il m’avait gâtée avec un séjour d’une semaine à Venise. La ville était aussi agréable et romantique que possible, et ...
    ... nous avons passé des moments exceptionnels. La chaleur continue sur la cité me faisait pousser la climatisation à fond, au point que, toute heureuse, je sentais chaque nuit Paul se lover contre moi à la recherche de ma chaleur.
    
    La veille de notre départ, Paul me fit quelque peu patienter dans le hall, puis, à la fin d’une journée passée à flâner tranquillement dans la ville, il me demanda de regagner seule notre chambre. J’y trouvai sur le lit un ensemble violet constitué de bas, d’un string et d’un soutien-gorge, avec un petit mot m’indiquant pour consigne de bien vouloir choisir ma plus belle robe pour accompagner cela. Je retrouvai Paul une petite heure plus tard dans la salle de restaurant. Je connaissais cette lueur dans son regard, je devais incarner la perfection faite femme dans ses yeux. J’avais parfumé mon corps, attaché mes cheveux, travaillé ma silhouette ; pour la fin de la soirée, Paul était au menu et j’allais me régaler.
    
    En commençant le repas, je le taquinais, je me montrais espiègle à souhait. Je frottais discrètement l’une de mes jambes contre lui, tandis que mes doigts guidaient les baisers furtifs adressés à son intention. Paul a tenu longtemps, mais alors que nous allions commander le dessert, il ne put se retenir de me confier à quel point il avait hâte de voir mon nouvel ensemble. « Mais tu peux déjà tout voir, mon amour », lui ai-je répondu ; il avait déjà pu profiter de mes jambes, et je me penchais ostensiblement afin qu’il bénéficie d’une vue ...