1. La confession de Marie - Parfois, le bonheur est simple...


    Datte: 13/01/2018, Catégories: fh, couple, amour, Auteur: Strawberry, Source: Revebebe

    ... dans la poche de sa veste. En m’approchant de lui, Paul a essayé de m’attraper, mais je me dérobai sans un mot pour rester la maitresse du jeu. Alors qu’il comprenait que je le voulais immobile, je fermai la porte de la salle et m’assis enfin « sagement » sur ses genoux. Nos lèvres se rencontrèrent, nos langues communièrent au rythme d’un slow, et j’autorisai enfin Paul à me serrer délicatement dans ses bras — tout doux, mon amour !
    
    La petite voix était triomphante, et commentait, guillerette — Mon pauvre chéri ! Oui, je sais, je viens de t’allumer comme une salope ; tu es dur comme jamais, tu risques d’exploser à tout moment dans ton pantalon, avec mon intimité brûlante plaquée contre toi qui te réclame comme jamais, tu me prendrais bien séance tenante sur la table, et je te demande de garder ton calme ; n’oublie pas que tu as une petite chose précieuse dans tes bras… Ah, que la vie est cruelle !
    
    Au bout de quelques secondes, je mis fin à ce baiser en me levant, le prenant par la main, et le message était on ne peut plus clair : allons terminer ceci à l’abri des regards curieux.
    
    Il ne nous fallut pas bien longtemps pour arriver dans notre chambre. Sur le chemin, expérimentant pour la toute première fois la sensation d’avoir les fesses dénudées sous ma jupe, j’avais du mal à me dissuader d’une étrange impression surnaturelle, celle de me balader avec au-dessus de ma tête un néon géant portant l’inscription « attention, fille sans culotte et en chaleur » clignotant ...
    ... en fluo.
    
    En temps ordinaire, je ne me serais jamais permis une telle entorse dans ma conduite vestimentaire — les filles bien élevées mettent toujours des sous-vêtements, ma chérie ! — mais mon bas-ventre en feu me rendait plus déchaînée qu’une collégienne devant son boys-band vénéré.
    
    En arrivant à la maison, aucun de nous deux ne se déshabilla ou ne tenta de déshabiller l’autre. Paul me laissa quelques secondes pour m’installer confortablement à quatre pattes sur le lit. Il troussa ma jupe, et là… il prit entièrement possession de moi. Toute concentrée sur mes sensations, je me laissais submerger par les vagues de plaisir. L’un des gestes préférés de Paul était d’enrouler son bras entre ma taille et mes hanches, manière pour lui de signifier que j’étais à lui, toute à lui et rien qu’à lui, et, cerise sur le gâteau, cela surélevait mon bassin, accentuant ainsi les effets de la position. Je m’abandonnais, dos contre lui, couverte de chauds baisers sur ma nuque et de tendres mots au creux de l’oreille. Depuis la bibliothèque, je m’étais sentie morte de honte, de trouille, d’indécence, et au final je récoltais la juste récompense de mon audace : une tornade de sensations inédites qui me faisait jouir sans aucune retenue — un sacré souvenir !
    
    La levrette faisait partie de nos péchés mignons, mais nous avions aussi d’autres plaisirs. Lorsque je caressais son torse de ma poitrine, il ne manquait jamais de saisir fermement à pleines mains mes fesses nues, ce qui me mettait ...
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