Monsieur, Marianne et moi (2)
Datte: 12/02/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... bras !
Il me retire les menottes et d’une voix toujours très chaude, m’intime l’ordre de rester à genoux à deux pas d’eux. Cette fois c’est maman qui est en position de la levrette et il la prend très langoureusement. Je ne peux m’empêcher de voir le sexe de cet homme, bandé comme un arc qui s’enfonce dans le vagin de ma mère. Il la lime à son rythme allant vite, modérant ensuite les amplitudes de son bassin et elle geint, alors que sa tête se berce de droite à gauche. Et la montée du désir chez moi est proportionnelle aux émotions que la femme prise me renvoie.
Et j’avoue que c’est, bel et bien, les yeux dans les yeux de l’amant de maman, que je sens monter un orgasme que plus rien ne peut contenir. Mon ventre se tétanise sans attouchements extérieurs, sans que je puisse non plus endiguer le flot de spasmes qui déferle en vagues successives entrainant chez moi, des gémissements analogues à ceux de ma mère qui se laisse tringler sous mes yeux. Il a l’air très heureux ce Bertrand qui prend un plaisir multiple. Voir et lui faire savoir que je vibre en les regardant jouir à moins de vingt centimètres de leur accouplement, voilà qui le réjouit pour de bon !
Une journée bien remplie qui me laisse encore vierge à l’issue de celle-ci. Ils ont fait l’amour sans plus se préoccuper de ma présence. Je vois maman dans une série d’exercices dans lesquels je ne l’imaginais pas vraiment. Son Bertrand ne me touche plus. Il ne s’occupe que de son corps à elle. Ma mère se laisse ...
... prendre devant moi sans aucune pudeur, par amour pour ce sale type qui la baise dans toutes les postures dont il a envie. Et les cris, mais également les odeurs restent et continuent à être excitants pour la voyeuse que je suis malgré moi.
Au bout d’un laps de temps indéfini, je finis par partir pour me réfugier dans ma chambre. J’ai une sorte de rage aux tripes. J’en veux à la terre entière, à tous les mâles du monde, et à maman en particulier. En dernier ressort c’est à la bécasse que je suis que je fais des tas de reproches. Je suis toujours aussi vierge que les jours précédents. Je n’aime pas ce type, je le hais au-delà de tout. Surtout parce qu’il ne m’a pas touché. Seules les lanières de cuir du martinet ont éreinté ma peau et encore se sont elles trouvées maniées par les mains de Marianne.
Ils ont fait l’amour longtemps. Assez pour que je sois dans l’obligation de me faire plaisir. La masturbation, je la pratique de temps à autre bien sûr. Peu de filles, de garçons aussi je suppose, peuvent se vanter de ne l’avoir jamais fait. Je suis si trempée, mon ventre est si excité qu’un orgasme survient dans les secondes qui suivent mes attouchements. Puis mon corps se relâche. C’est alors que je recommence avec une lenteur exaspérante à caresser cet endroit qui n’a toujours pas reçu la visite d’un sexe d’homme.
Cette fois, je suis plus sereine et mes effleurements sont moins saccadés, plus amples. Je prends mon temps pour me laisser entrainer dans une autre montée d’un ...