1. Monsieur, Marianne et moi (2)


    Datte: 12/02/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... dents trop blanches à mon goût.
    
    — Salut Aline. Je peux entrer ?
    
    — Maman n’est pas là, elle vient juste de se rendre chez son gynéco.
    
    — Je sais… je sais, c’est bien toi que je viens voir !
    
    — Moi ? Mais…
    
    — Chut ! Entrons veux-tu ?
    
    — Mais…
    
    Il n’attend pas que je l’invite à le faire. Et dans la maison, il repousse la porte et se met entre elle et moi.
    
    — Tu crois que je dormais hier soir ? Tu penses que je ne t’ai pas entendu dans la salle à manger ?
    
    — Quoi ? Qu’est-ce que…
    
    — Allons ne fais pas la sainte nitouche. Tu t’es rincé l’œil et je n’ai rien dit à ta mère.
    
    — Vous êtes malade ? Ça ne va pas bien dans votre caboche ? Déguerpissez !
    
    — Du calme ma jolie. Le spectacle t’a fait mouiller ? Tu peux tout me dire, je ne rapporterai rien, à personne.
    
    — Qu’est-ce que vous me voulez à la fin ?
    
    — Tu as une belle gueule, et surtout un joli petit cul. Ce serait dommage qu’il ne serve à personne. Tu vois ce que je veux dire ? Ta mère n’en est pas certaine, mais elle imagine que tu es encore vierge… alors je peux arranger ça.
    
    — Foutez-moi le camp ! Je crie sinon !
    
    — Et tu crois que quelqu’un va t’entendre ? Les plus proches voisins sont à plus de cent mètres. Avec l’épaisseur des murs, tu vas devoir vraiment hurler très, très fort.
    
    — Laissez-moi tranquille. J’en étais sûre, vous n’êtes pas un type bien.
    
    — Ne sois pas aussi catégorique. Allons faire un tour dans ta piaule.
    
    Il m’empoigne par le bras et il a une force du diable ...
    ... l’animal. Puis il y a ces images qui déferlent dans mon crâne. Celles ou maman… soupirait. Il m’entraine, mais je dois dire que je le laisse faire, vers ma chambre. Nous y sommes et il referme la porte derrière lui. La clé dans la serrure est tournée et il la met dans sa poche. J’ai une sorte de boule au ventre.
    
    — Tu as peur ? Il ne faut pas. Tu vas sans doute adorer… comme Marianne. Assieds-toi sur ton pieu.
    
    Il étend le bras dans l’intention de me faire aller vers ma couche. Je recule et forcément, je me sens acculée à l’endroit où il veut me voir poser mes fesses. Je suis si surprise que je me retrouve comme il le désire.
    
    — Tu vois ! Ce n’est pas si difficile. Une fois que vous avez toutes obéi une fois, c’est plus simple pour le refaire. Ouvre ton corsage.
    
    — Mais…
    
    — Ouvre-le, je te dis. Je ne vais pas te sauter… dessus. Allez montre-moi cette petite poitrine qui semble bien ferme.
    
    — Je ne veux pas…
    
    — Tu n’as pas à vouloir ou non. C’est moi qui décide, comme pour ta mère. Allons, ne fais pas l’enfant à bientôt vingt-cinq balais, tu devrais savoir que les hommes sont toujours les vainqueurs. Montre-moi tes seins. Ne m’oblige pas à t’attacher les mains. J’adorerais t’immobiliser, mais pour la première fois, je préfère que ça se passe avec ton aval. Vas-y ma douce, retire-moi ce vilain chemisier dans lequel tu caches tes trésors !
    
    — Mais…
    
    Je baisse les yeux ! Et il me prend la main. Il ne cherche pas à me faire mal, il l’approche seulement des boutons qui ...
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