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Monsieur, Marianne et moi (2)
Datte: 12/02/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... corps et il doit bien remarquer que ma chatte est rasée. Il tourne lentement autour de moi. Puis il me bloque la nuque d’une seule main. Sans véritablement me faire mal, il m’incite sans parler à m’agenouiller sur le bord du lit. Mon visage se cale dans les draps qui puent le sexe. Des taches humides me rappellent que maman vient de jouir sur ceux-là. J’ai les fesses en l’air et la main qui me maintient fermement dans la position voulue se relâche. Elle glisse sur mon épine dorsale, courant vers mes reins, sans hâte. — Tu vois comme elle est belle ta fille ? Marianne, tu vas devoir la châtier pour la punir de s’être enfermée dans sa chambre, cette vilaine gosse. Je comprends tout. Ce salaud ne veut pas me fesser, il désire simplement que ce soit ma propre mère qui s’en charge à sa place. Le pire de l’affaire c’est qu’elle ne réagit absolument pas. Et dans le silence lourd qui suit ces paroles, il s’adresse de nouveau à moi. — Tu préfères quel instrument ? La cravache ou le martinet ? — … ! Je n’ai pas envie de relever, alors d’une voix terriblement suave, il s’exprime avec un accent de joie dans les trémolos de sa gorge. — Si tu ne me dis pas ta préférence, tu auras droit à dix coups de cravache et dix coups de martinet pour faire bonne mesure. Tu as encore une seconde pour te décider. Je craque alors et dans une sorte de sanglot, je rétorque cette fois faiblement, mais assez pour être audible… — Le martinet… monsieur ! — Ben voilà ! Ce n’est ...
... pas si difficile et c’est toi qui as choisi ! Marianne à toi de jouer ! Montre-moi ton amour en chatouillant le joli derrière de ta fille. Et chaque coup que je jugerai trop faiblement porté te sera administré ensuite… allez vas-y… quinze coups de martinet… puisque la miss m’a fait attendre. C’est parti et toi… comme cet après-midi, tu comptes… Il est revenu sur le devant de la scène et sa main reprend sa place sur ma nuque. Mais c’est seulement pour me redresser le visage. Il me regarde dans les yeux et un coup porté assez violemment me fait ouvrir la bouche. Je hurle le chiffre un comme un cri me soulageant. La seconde volée des lanières de cuir m’atteint sur l’autre fesse, à la limite des cuisses. Je ne lui donne pas le plaisir de mouiller mes yeux. Deux ! Je l’énonce tel un soupir. Il ne sourit pas noyant son regard dans mes quinquets. Et les autres coups arrivent, ponctués du numéro que Bertrand guette avec avidité. Au dixième je ferme les paupières. Les perles qui brillent aux coins de mes yeux sont des humiliations supplémentaires. Quand tombe l’ultime fouettée du martinet. Il me caresse la joue avec une tendresse inimaginable. Maman est debout au pied du lit, l’objet de ma torture entre les doigts. La patte libre de son mâle effleure aussi la joue de Marianne. — Vous avez été merveilleuses toutes les deux. Vient Marianne, j’ai envie de toi et tu as mérité ta récompense. La tienne Aline, c’est de voir ta mère heureuse d’être aimée. Redresse-toi et tends-moi tes ...