L'Education Sentimentale
Datte: 08/08/2018,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
Auteur: bybobober, Source: Literotica
... était quasi glabre.
Plus tard et au fur et à mesure de mes observations, je découvris, d'ailleurs, que tantôt ma mère avait la chatte parfaitement épilée, comme celle d'une petite fille, tantôt elle laissait repousser son buisson de jais.
Mais revenons-en à mes premières découvertes et, à ce moment, ma mère était poilue. Les cinq doigts jouaient donc, doucement dans cette toison mais, petit à petit, je vis le majeur de faire plus insistant et plus pénétrant , s'insinuant progressivement entre les lèvres du sexe.
Tandis que le doigt fureteur entreprenait un long et lent va et vient dans la fente, je voyais les deux jambes, maintenant très écartées, se tendre de plus en plus jusqu'à ce qu'elles soient raides et bandées comme deux pieux de chair.
Je distinguais les muscles des cuisses tendus qui tressaillaient et les deux pieds que je ne pouvais plus voir, s'appuyaient probablement au bas de la porte qui me servait de rempart.
Je ne voyais pas la deuxième main mais je l'imaginais sous la robe, pétrissant un sein, un de ces énormes seins qui me faisaient tant envie et que je ne pouvais encore, voir.
Le majeur glissait de plus en plus loin et je le voyais pénétrer profondément, à chaque passage, dans ce sexe béant que le pouce et le petit doigt tenaient grand ouvert.
Dans cette fente écarlate, une protubérance énorme, un bouton turgescent comme une petite bite, dardait, qui me donnait envie de le sucer comme je l'aurais fait de celle de Gérard.
Qu'à cela ...
... ne tienne, j'avais sorti ma queue et je l'agitais comme un forcené.
Petit à petit le doigt actif de ma mère circonscrit son travail autour du bouton seulement. Il le titillait, le contournait, l'abandonnait parfois, pour permettre aux deux autres, l' pouce et le petit, de la prendre en étau et de le traire comme je le faisais de ma quéquette.
Soudain, j'entendis distinctement ma mère gémir de plus en plus fort et piusser des soupirs énamourés.
-Jouis, salope! se disait-elle à voix haute, éclate-toi, sale putain! crache le ton jus…
Et elle se remettait à gémir tandis que son doigt appuyait de plus en plus frénétiquement sur le haut de son clitoris.
Elle se cabra d'un coup en serrant les cuisses sur sa main et elle étouffa un dernier cri, au moment précis où, de l'autre côté de la porte, j'eus juste le temps d'extirper de ma poche un mouchoir pour y cracher des flots de spermes qui, si je ne les avais pas contenus dans ce linge, auraient maculé le rempart opaque qui nous séparait.
Cette dernière découverte m'encouragea, s'il le fallait encore, à poursuivre mon observation indiscrète.
Chaque fois que je le pouvais, j'allais me repaître de ce spectacle magnifique.
Souvent, toutefois, j'étais déçu car ma mère ne se caressait pas, mais je me satisfaisais alors, de la vue de ses belles jambes et de son ventre.
Une fois, par contre, j'eus l'agréable surprise de la trouver debout.
Elle se tenait de profil, le bas du corp entièrement dénudé. Elle avait ôté ...