1. L'Education Sentimentale


    Datte: 08/08/2018, Catégories: Accouplements Érotiques, Auteur: bybobober, Source: Literotica

    IL me revient des souvenirs de plus en plus précis, de plus en plus pressants, d'une période de mon existence tellement lointaine maintenant, que je me demande, parfois, si j'ai réellement vécu ces moments particuliers, ou si je les ai rêvés.
    
    Je devais avoir, à cette époque, entre douze et quatorze ans et je vivais, comme il se doit, avec mes parents qui formaient un couple uni et sans histoire .
    
    Comme tous les garçon de cet âge, je m'éveillais progressivement à la vie et je dois avouer que ma sexualité progressait à grands pas.
    
    Depuis mon plus jeune âge, en effet, j'avais toujours été très curieux de ce que les adultes, à l'époque dont je vous parle, traitaient avec beaucoup d'hypocrisie et de mystère : le sexe et tout ce qui l'entoure.
    
    Vers mes dix ans, déjà, j'échangeais des attouchements fort précis avec des garçons de mon âge, curieux, comme moi, et tout était prétexte à retraite dans des endroits discrets, pour nous adonner à ces plaisirs, somme toute naturels.
    
    C'était, en vérité, très innocent. Nous nous contentions de nous pincer la quéquette, parfois même, au travers du tissus de notre short.
    
    Au fur et à mesure que le temps passait, ces jeux de mains se précisaient cependant .
    
    A la piscine, dans un grenier ou dans les bois, nous nous isolions, deux par deux, pour nous toucher mutuellement. Nous bandions très dur , mais nous ne connaissions pas encore la jouissance.
    
    Je fréquentais, à l'école, un ami avec qui j'étais un peu plus lié, et avec ...
    ... qui, les échanges de confidences se développaient de plus en plus.
    
    Gérard était assez grand, comme moi, d'ailleurs, et il était d'environ une année mon aîné.
    
    C'est lui qui m'expliqua que, le soir, dans mon petit lit douillet, si je m'y prenais bien, je pouvais, en caressant suffisamment longtemps ma queue, et en tendant bien les jambes, « éclater tout à coup » comme il disait.
    
    Lui-même y était arrivé et, me racontait-il, il avait même vu, après quelque succès de ce genre, gicler par le petit trou de sa bite, un liquide blanc et chaud.
    
    Nous en avions, immédiatement conclu, qu'il s'agissait bien là, du liquide qu'il faut introduire dans le ventre de la femme pour la féconder.
    
    Peut importait, à vrai dire, mais que c'était agréable, me disait Gérard.
    
    Dès ce moment, tous les soirs, et parfois le matin, je tirais comme un enragé sur ma bite qui durcissait telle une épée entre mes jambes soudées et tendues à se rompre. Et un beau soir, arriva ce qui devait arriver.
    
    Comme j'en avais pris l'habitude, j'atteignis ce qui, comme je l'ai su plus tard, s'appelle un orgasme.
    
    Lorsque je détachai ma main de mon sexe brûlant, je la sentis inondée d'un liquide chaud et gluant que je pris, sur le coup pour du sang.
    
    Bien vite toutefois, je réalisai que j'avais craché le liquide dont Gérard m'avait parlé.
    
    Nos jeux se précisèrent, à l'époque.
    
    Nous n'avions plus qu'un but, nous faire jouir le plus souvent possible.
    
    Un de nos jeux favoris était de nous caresser dans ...
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