1. L'Education Sentimentale


    Datte: 08/08/2018, Catégories: Accouplements Érotiques, Auteur: bybobober, Source: Literotica

    ... sa jupe et sa culotte et, comme c'était l'été, elle ne portait pas de bas.
    
    Je voyais ses jambes légèrement fléchies car elle semblait pousser son ventre vers l'avant pour présenter sa chatte au dessus de la cuvette, comme l'aurait fait un homme pour uriner.
    
    De ses deux mains, elle écartait complètement les lèvres de son sexe et, tout-à-coup, des gouttelettes dorées s'échappèrent de la source et se perdirent en un chapelet dégoulinant dans le pot du WC. Aussitôt, ce fut la cataracte, l'abondance. Un long jet de pisse brillante frappa dru l'émail froide et rebondit dans l'eau de la cuvette en un bruit caractéristique.
    
    J'entendais ma mère murmurer des mots crus, comme à son habitude :
    
    -Oh oui! Pisse bien tout ton jus! Crache le, ton sperme de salope.
    
    Oh comme je voudrais être un homme et avoir entre les jambes une grande bite qui cracherait tant de sperme!
    
    Que c'est bon de pisser ainsi! Que c'est bon! Que çà me plaît!
    
    En prononçant ces mots, elle agitait son sexe comme pour faire couler davantage de pisse et extraire les dernières gouttes .
    
    Lorsque la source fut tarie, elle resta immobile un long moment. Ensuite, elle leva la jambe gauche et la posa sur le rebord de la cuvette.
    
    D'où j'étais, je voyais son pied à peine caché par les brides éparses des sandales à hauts talons. Les orteils semblaient jaillir de ce chaussures légères et les ongles parfaitement vernis brillaient comme autant de miroirs.
    
    L'autre jambe, par contre était restée bien ...
    ... tendue.
    
    Que ses jambes pouvaient être belles! Musclées, mais pas trop, toujours parfaitement entretenues et lisses, souvent bronzées, bien fuselées et, surtout, pas trop maigres.
    
    Dans cette position, je la vis qui commençait à se caresser. Tandis que sa main gauche courait de la hanche à la cuisse tendue, la droite s'agitait dans le sexe trempé. Trempé à la fois de pisse et d'envie car j'entendais le clapotis que le mouvement de plus en plus rapide des doigts provoquait.
    
    Le plaisir fut prompt. Très vite, je vis la cuisse qui se trouvait si près de moi que j'aurais pu la toucher, se bander et les muscles se durcir. La main s'activa au rythme des gémissements. Le cri de la délivrance ne tarda pas, signal du plaisir de ma mère mais aussi du mien. Plaisir partagé dans le secret et l'ignorance réciproque, mais plaisir devenu indispensable et dont je ne pouvais plus me passer.
    
    Les semaines et les mois s'écoulaient. Je continuais, bien sûr à fréquenter Gérard et à entretenir, avec lui, des relations de plus en plus poussées car nous tirions, chaque fois, les leçons de nos expériences précédentes.
    
    Nos gestes étaient plus précis et nous nous guidions mutuellement vers un plaisir de plus en plus complet.
    
    Complet? Peut-être pas, car ma mère m'obsédait de plus en plus l'esprit et j'avais des phantasmes et des désirs de plus en plus violent à son égard.
    
    Tout aurait pu en rester là, comme c'est le cas pour la plupart des adolescents, mais, en ce qui me concerne, il était ...
«12...678...39»