L'Education Sentimentale
Datte: 08/08/2018,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
Auteur: bybobober, Source: Literotica
... la cabine de déshabillage à la piscine.
Après le bain, nous partagions le mains lieu clos aux regards indiscrets et, après avoir enlevé, au plus vite nos maillots, nous nous offrions réciproquement nos deux bites, glabres mais toujours au garde à vous.
Nous nous manipulions le sexe en de savantes caresses, de plus en plus rapides, imposant à l'autre le rythme que nous souhaitions pour nous même, jusqu'à ce que, souvent au même moment, nous nous mettions à cracher, par saccades notre sperme juvénile, sur nos cuisses, notre ventre voire sur le mur carrelé du local.
C'est, aussi, à cette époque, que tous deux, nous nous étions rendus compte que les bibliothèque de nos pères respectifs, recelaient des trésors intéressants.
Mon père possédait de nombreux livres dont le contenu était très instructif me semblait-il.
Ce n'était pas seulement des ouvrages de texte, mais aussi, plus souvent des magazines illustrés de photographies de femmes nues dans des poses aussi suggestives que la censure de l'époque le puisse tolérer.
De toutes façons, à cet âges j'étais encore fasciné par la partie du corps de la femme que je considérait comme le sommet de l'intimité et de l'érotisme : la poitrine, et je me repaissais donc, de ces photos, ne m'inquiétant que fort peu de ce qu'elles cachaient.
Poussant peti à petit, mes investigations, j'avais trouvé dans l'armoire de lit de mes parents, toute une mine de livres qui combinaient textes et photos et qui constituaient, à eux ...
... seuls, mieux qu'un cours d'éducation sexuelle très avancé.
Il y avait, en outre, dans cette caverne d'Ali Baba du sexe, divers accessoires qui m'étonnèrent, au début, mais dont, très vite, grâce à la documentation que j'avais entre les mains, je pus imaginer l'usage que mon père pouvait en faire sur ma mère ou que ma mère pouvait se faire lorsqu'elle était seule, comme les filles des photos.
Je découvris, aussi des lettre que mes parents s'étaient échangées, avant leur mariage ou lors des rappels militaires de mon père.
On n'est guère scrupuleux, à cet âge et le désir d'apprendre l'emporta sur les hésitations.
Petit à petit, car je n'osais m'aventurer trop longtemps dans la chambre de mes parents, de peur de me faire surprendre , je me suis mis à dévorer ces lettres, en plus des livres que je connaissais maintenant par cœur.
Ce que je découvris me choqua au début. C'était normal, à cet âge, j'estimais que mon père avait été un beau salaud d'écrire des mots aussi crus à ma mère et de lui promettre de lui faire des choses aussi sales.
Très vite, toutefois, et surtout, dès que je me mis à lire les réponses que ma mère rédigeait, je compris que les intentions, partagées, du reste , n'avaient rien de méchant et que le but, après tout, n'était que de partager du plaisir, ce qui ne peut être mauvais, en soi.
Je découvris, dès ce moment, ces missives amoureuses comme de simples histoires pornographiques, à la différence, cependant, que les acteurs avaient un visage ...