L'Education Sentimentale
Datte: 08/08/2018,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
Auteur: bybobober, Source: Literotica
... vision allant du sol jusqu'au cou de ma mère qui était assise.
Sa robe de vichy rose était retroussée jusqu'au ventre et j'avais, en gros plan devant les yeux, ses deux genoux joints et ses jambes.
Je pouvais distinguer clairement la maille brillante des bas nylons brun clair et, en remontant le long de la cuisse gauche, mon regard heurta l'attache du porte jarretelles blanc qui tranchait sur la face externe de la cuisse laiteuse et allait se perdre sous le tissu rose de la jupe.
Au centre des deux cuisses barrées par la bande plus sombre des bas, deux jarretelles blanches courraient, également, jusqu'au ventre et encadraient un triangle de poils noirs et courts.
Les cuisses étaient magnifiques, très lisses et je ne pouvais m'empêcher de les comparer avec celles que j'avais vues dans les livres de mon père ; et elles soutenaient facilement la comparaison!
Plus bas, des genoux biens serrés descendaient deux jambes au galbe irréprochable vers des pieds mignons et fins qui semblaient enchâssés comme deux diamants dans des escarpins blancs, aux talons très hauts et très fins, à la mode de l'époque.
Elle ne bougeait pas ; je ne voyais pas son visage mais par le mouvement de ses bras, je me doutais qu'elle feuilletait un magazine.
Instinctivement, j'avais porté la main à mon sexe que je malaxait au travers de la toile fine de mon short.
Je jouis très vite et j'inondai mon vêtement de sperme brûlant m'obligeant ainsi à m'enfouir dans ma chambre pour me ...
... nettoyer et effacer toutes traces .
Mais ma jeune pine ne pouvait être satisfaite de ce plaisir rapide et, dès que je me suis mis à frotter mon gland pour le débarrasser des dernières traces, l'envie me repris et mon sexe durcit aussitôt. Je me mis à le caresser avec plus de douceur et d'application que la première fois et, tout en revivant les moments délicieux et les images savoureuses dont je venais de me repaître, je me fis jouir à nouveau, en crachant bien loin, cette fois, ma semence juvénile.
Le plis était pris et chaque fois que j'étais seul avec elle et que ma mère se rendait aux toilettes, je me mis à l'épier et ainsi, au fil de mes observations, mes découvertes se firent de plus en plus intéressantes, et agréables.
Parfois, ma mère enlevait complètement le slip qu'en d'autres temps elle gardait en travers des mollets ou des chevilles. Alors elle écartait insensiblement les jambes tandis que, d'une main elle fourrageait délicatement dans les poils de sa chatte.
C'est de cette manière qu'un jour, enfin, je pu détailler, à loisir, ce sexe de femme dont j'étais issu.
C'était un sexe magnifique, c'était le premier que je voyais, mais, j'en étais sûr, c'était le plus beau du monde. Il était recouvert de poils très noirs, comme je l'ai dit, mais assez courts. Mon expérience acquise à la vue des phots de professionnelles me permis de conclure d'emblée, qu'il avait été retaillé au rasoir et au ciseau, car il formait un triangle parfait et l'entrejambe quant à lui ...