L'Education Sentimentale
Datte: 08/08/2018,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
Auteur: bybobober, Source: Literotica
... me pinçant les nichons ou branlant le clitoris de son amie tout en l'embrassant et en lui massant les seins.
Lorsqu'Eva s'écroula, définitivement brisée par le plaisir que je lui avais fait atteindre, ma bite était toujours aussi raide, car elle n'avait pas encore craché son jus, pour la troisième fois.
Je m'étais volontairement retenu jusque là, à grand renfort de volonté et de maîtrise de soi, mais je n'avais qu'une idée en tête: celle de me finir dans le ventre de ma mère, car je pensais que je lui devais bien cet honneur et ce plaisir.
Donc, lorsqu'Eva se fut écroulée, à plat ventre sur le divan et que ma grande queue, rendue à l'air libre, se mit à osciller au bas de mon ventre, ma mère s'approcha et me la saisit à pleine main tout en me donnant sa bouche.
Je dus poser ma main sur la sienne pour lui faire comprendre qu'elle devait cesser son va-et-vient afin de ne pas me faire jouir, et je la saisis par les hanches pour la faire pivoter d'un demi-tour.
Elle se pencha en avant, et s'appuya sur l'accoudoir du fauteuil en me présentant son beau derrière.
Sa chatte était tellement mouillée que je n'eus qu'à me présenter à l'entrée et elle engouffra d'un trait ma queue turgescente.
Elle adorait se faire prendre ainsi par son fils et, cette fois encore, elle le cria ...
... haut et fort en jouissant comme une chienne.
Lorsque je ne pus plus me retenir, je me mis à cracher mon sperme juvénile, d'abord dans le ventre maternel, pour me retirer, ensuite, et lâcher le reste sur le dos et les fesses tant aimées.
Ce soir-là, quand les hommes revinrent de la chasse, ils nous trouvèrent bien sages, devisant devant le grand feu ouvert, et, si ce n'est par les cernes qui barraient nos visages, mais qui n'étaient apparents que pour nous, rien ne transparaissait de nos activités effrénées de la journée.
A partir de ce moment je me suis mis à fréquenter beaucoup moins assidûment René et Gérard. Le premier surtout qui n'avait été mon ami que pour des raisons purement sexuelles et avec qui, je n'avais guère de connivences, par ailleurs, étant donné la différence d'âge.
Gérard continuait à venir à la maison de temps en temps, et puis, de toutes façons, je le voyais tous les jours à l'école, mais nos activités intimes étaient de moins en moins fréquentes et finirent par s'estomper complètement lorsque que mon ami connu sa première fille.
Quant à moi, je me partageais entre ma mère et Eva. Celle-ci prétendait qu'elle ne pouvait plus se passer de moi et que je lui faisais connaître une nouvelle jeunesse…qu'elle revivait grâce à moi…qu'elle avait repris goût à la vie…