1. L'Education Sentimentale


    Datte: 08/08/2018, Catégories: Accouplements Érotiques, Auteur: bybobober, Source: Literotica

    ... de ma mère étaient volumineux, certes, mais ils étaient surtout très pointus et, grâce aux soutiens-gorge de l'époque, elle les portait très droits et très hauts.
    
    A vrai dire , ma mère avait, à peine plus de trente ans, à cette époque. Elle s'était mariée jeune et j'était venu très trop.
    
    Ma mère occupait, donc, de plus en plus mes pensées, et, lorsque je me caressais, le soir, je me faisais un cinéma très compliqué dans lequel ma mère tenait le premier rôle ; un rôle de femme obsédée par son corps et le sexe, de femme qui se caresse sans cesse, qui couche avec des amies et, petit à petit, qui m'inclut dans ses jeux.
    
    J'avais remarqué, lorsque j'étais seul avec elle, à la maison, qu'elle s'enfermait, parfois, de longues minutes dans les toilettes et, comme la porte qui fermait celles-ci avait subi, diverses modifications, elle possédait un trou, probablement l'ancien logement d'une clenche qui n'existait plus, à environ cinquante centimètres du sol.
    
    Sa position très basse laissait à penser qu'il ne constituait pas un danger pour les regards indiscrets et c'est la raison pour laquelle, mon père n'avait pas jugé utile de le reboucher.
    
    Quelle erreur! C'était sans compter sur ma perspicacité et ma débrouillardise ni, surtout, sur ma curiosité et mon voyeurisme naissant.
    
    En effet, j'avais mûrement repéré les lieux pour constater que, par cet orifice, je pouvais découvrir le qui se passait à l'intérieur du local, tout au moins jusqu'à une certaine hauteur et que, ...
    ... de plus, étant moi-même plus bas que le champ de vision de l'occupant des lieux, je ne pouvais être remarqué par celui-ci.
    
    C'est ainsi que je me mis à épier les habitudes de ma mère et je remarquai, ainsi, que parfois, elle restait dans les toilettes un temps infiniment plus long que la normale.
    
    Cela m'intriguait, mais j'avais bien mon idée là-dessus et, un jour, ce qui devait arriver, arriva.
    
    C'était un après-midi de vacance et j'étais seul, à la maison, avec ma mère.
    
    Ma décision était prise : si elle se rendait au « petit coin », comme elle disait, j'irais l'observer.
    
    Tout à coup, alors qu'elle venait juste d'achever la vaisselle du repas de midi, je la vis se diriger vers l'endroit convoité et, tandis que dans ma poitrine je sentais battre mon cœur à tout rompre, j'entendis le verrou se refermer derrière elle.
    
    J'étais, à la fois, très excité, poussé par l'envie et la curiosité, et terrorisé par la portée du geste que j'allais accomplir.
    
    L'attrait du défendu l'emporta, toutefois, sur la culpabilité que suscitait la décision, et, à pas de loup, je me rendis à mon poste d'observation.
    
    Un tableau magnifique m'attendais. Dans ma courte existence, il ne m'avait encore jamais été donné de voir « en chair et en os » et de si près, un corps de femme et même si je ne pouvais voir la totalité de celui-ci, je n'en ressentais pas moins un immense bonheur.
    
    La pièce était assez profonde et la cuvette du WC posée au fond, ce qui me permettait d'avoir un champ de ...
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