1. Antoine, voleur de petites culottes ( 1 ) (1)


    Datte: 06/08/2018, Catégories: Erotique, Auteur: walter88, Source: Xstory

    ... seul parce qu’elle avait rencard à la fac ou ailleurs, je prenais tout mon temps. J’inspectais ses tiroirs, sélectionnais quelques petites culottes, une ou deux jupes et des collants. Je les emportais dans la salle de bains et les disposais par terre sur le tapis, en arc de cercle. J’ajoutais quelques accessoires : un rasoir, un tube de rouge à lèvres, un de ses colliers, une photo d’elle dans un cadre... Je finissais par choisir un slip dans le bac à linge, un qu’elle avait porté, pour sentir l’odeur de sa petite chatte si souvent pénétrée par d’autres. Puis je me masturbais, nu jusqu’à la taille, en touchant ses vêtements et en respirant de toutes mes forces sa petite culotte sale, en proie à un véritable délire érotique... Je jutais sur ce qui était le plus facile à nettoyer : des bas résille, une jupe en cuir, des souliers vernis à talons. Et je rangeais le tout...
    
    Une fois, j’ai failli me faire surprendre. Elle était partie depuis dix minutes. Je la pensais loin alors qu’elle attendait encore le bus, au pied de son immeuble. Quand celui-ci est arrivé, elle s’est aperçue qu’elle avait oublié sa carte de transport. Elle est remontée la chercher dare-dare et est entrée sans frapper. Quand elle ne m’a pas vu, elle a compris que j’étais dans la salle de bains. De derrière la porte, elle m’a expliqué pourquoi elle était revenue et m’a finalement proposé de venir avec elle. J’étais presque à poil en train de me palucher dans un de ses strings. Heureusement, ce jour-là, je ...
    ... m’étais contenté de ce que j’avais trouvé dans le bac à linge et dans la baignoire... J’ai pu tout remettre en place. Quand je suis sorti, elle m’a juste fait remarquer que j’avais l’air étrange. Etais-je certain d’aller bien ?
    
    Parfois, je me faisais plaisir : je glissais une de ses petites culottes dans mes affaires et l’emportait chez mes parents pour pouvoir éjaculer dedans pour de bon, sans me soucier de laisser des traces. Je lui en ai volé plus d’une dizaine, principalement des strings microscopiques. Au bout d’une semaine, j’allais les jeter dans les bois derrière chez nous, complètement souillés. J’aimais les tendre entre des branches, pour les mettre en valeur. Je repassais quelques jours plus tard : ils avaient disparu. Il m’est aussi arrivé de voler un petit porte-jarretelles noir en dentelles, mais j’ai longtemps eu peur qu’elle ne se soit doutée de quelque chose...
    
    Je ne sortais pas grandi de ces séances de branlette. Tous les garçons que je côtoyais avaient des petites copines ou les accumulaient. A côté d’eux, je me sentais minable. Et quand je songeais à ce que je faisais avec les sous-vêtements de Nolwenn, de ma meilleure amie, de cette fille géniale et tellement tendre qui croyait en moi, mes joues s’embrasaient... Cela m’arrivait parfois, en plein concert ou dans la rue. Je devenais subitement tout rouge et me mettait à suer... Mais finalement, cela ne mettait pas en danger ma relation avec ma pote. Je me branlais avec sa lingerie, certes, mais sans ...
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