Antoine, voleur de petites culottes ( 1 ) (1) - Histoires de Sexe

Antoine, voleur de petites culottes ( 1 ) (1)

... ne l’avait jamais connu. Nolwenn se demandait parfois si sa mère n’avait pas raconté des histoires, si elle savait seulement qui il était ce salopard. Depuis, sa daronne avait eu plusieurs mecs, plus ou moins chouettes. Le dernier était un connard que Nolwenn ne pouvait pas blairer. Un vieil éducateur qui savait tout sur tout, un peu pervers sur les bords en plus. Elle le soupçonnait fortement de s’exciter sur elle et de la photographier à son insu. Bref, nous étions deux post-ados un peu à la ramasse. Nolwenn a fini par me proposer de passer quelques jours chez elle, pendant les vacances. Pas chez sa mère, mais dans son petit studio d’étudiante, dans la banlieue de Nantes. Je lui ai répondu qu’elle pouvait compter sur moi et que son coup de fil m’avait fait très plaisir. Et je suis allé la voir comme convenu, un peu avant Noël... Seb a un peu fait la gueule.

Nous avons dormi dans le même lit trois soirs d’affilée. Il ne s’est rien passé. Elle était très amoureuse de son chéri, même si elle ne le voyait pas souvent. Je l’aurais bien prise dans mes bras pourtant. Elle était jolie avec ses cheveux courts et ses grands yeux gris bleu. J’adorais son sourire et ses dents bien blanches. Elle sentait bon aussi. Sa voix était douce et agréable. Et elle était mignonne allongée sous sa couette, en débardeur et en petite culotte. Elle avait de très belles fesses, bien dessinées et des tout petits seins laiteux...

La dernière nuit a été la plus dure. Je l’ai passée à bander comme ...

... un âne. J’avais vraiment besoin de me masturber : chez mes parents, je le faisais au moins trois fois par jour. Mais il était hors de question de me caresser alors que nous nous touchions presque Nolwenn et moi. D’autres n’auraient pas hésité. Cela les aurait même excités et ils en auraient profité pour faire des saloperies. Mais je préférais souffrir en silence, c’était une trop chouette fille... Je ne voulais pas courir le risque de tout gâcher.

Avec le temps, nous sommes devenus vraiment très proches. Des alter ego plus que des frères et sœurs. J’allais souvent la voir à Nantes, tous les deux mois environ. Et il y avait tous ces concerts où nous nous retrouvions à Bordeaux ou à Paris. Nous prenions de l’âge, de plus en plus de came, mais aussi du galon dans la scène goth’. Je jouais de la basse dans un groupe sinistre avec trois autres mecs et Nolwenn de la gratte avec deux copines...

Elle s’est mise à s’habiller gothique. Elle a remisé ses vieilles fringues au placard et a commencé à porter des impers en cuir, des bustiers, des jupes super courtes, des collants fantaisie sexy et des grosses pompes coquées. Du noir, un peu de violet et de bleu marine. Plus toute la panoplie : les colliers de chien, les boucles d’oreille en forme de crâne et les chaînes. Elle a coupé très court ses beaux cheveux roux mais ne les a pas teintés. Dans son genre, elle est vite devenue sacrément mignonne. Elle faisait craquer les garçons avec son sourire, ses jolies jambes et son beau petit ...