1. Antoine, voleur de petites culottes ( 1 ) (1)


    Datte: 06/08/2018, Catégories: Erotique, Auteur: walter88, Source: Xstory

    ... cul. A chaque soirée, il y avait toujours au moins un type en rut pour la draguer comme un malade. Le contraste entre ses airs tendres et son look sexy les excitait beaucoup...
    
    Elle ne disait pas toujours oui, loin de là, mais elle a commencé à enchaîner les mecs. Je ne sais pas combien. Au début j’ai compté, puis il y en a eu trop. J’ai arrêté à quinze, je ne suivais plus. Elle ne restait jamais très longtemps avec le même garçon. Il y avait toujours quelque chose qui n’allait pas. Mais nous avions beau être très liés, elle ne m’en parlait pas trop...
    
    C’était assez troublant de songer que Nolwenn, qui était très douce et qui semblait très innocente, avait une vie sexuelle aussi intense. Mais n’allez pas croire que cela me faisait mal au cœur de la voir avec d’autres. Je m’en fichais bien tant qu’ils ne lui faisaient pas de mal et qu’ils ne m’empêchaient pas de la voir. Je n’aimais pas trop qu’elle sorte avec des mecs plus vieux ou trop craignos, mais c’était tout... J’étais malheureux de ne pas avoir de petite nana à moi mais pas de ne pas être avec Nolwenn. Ce n’était clairement pas la fille qu’il me fallait. Le décalage entre nous était trop immense. Je n’avais fait que caresser cinq ou six filles, plus une première fois calamiteuse avec une conne qui s’était foutue de moi. Aux dizaines de partenaires de Nolwenn, à ses deux ans de vie de couple, je n’avais à opposer que ces quelques heures de volupté toute relative, des passades... Elle couchait même parfois avec ...
    ... des “ vieux ” de 30 – 35 ans. Certains étaient mariés et avaient des gosses. Ils la baisaient en cachette ces salauds. Ces expériences étaient récentes, certes, mais quand bien même, je ne me serais jamais senti à la hauteur moi le presque puceau. Et de toute façon c’était ma pote, mon amie... Raison de plus.
    
    Il y avait tout de même quelque chose de sexuel entre nous. Mais c’était à sens unique et très honteux. Ses dessous... Ses dessous me troublaient beaucoup... Elle les laissait traîner partout, dans sa chambre au pied de son lit, sur sa commode, dans la salle de bains. Elle s’était mise à en porter des très sexy. Des strings si minuscules qu’on aurait pu les prendre pour des chouchous, d’autres en dentelles, de la vraie lingerie de femme, qu’elle piquait dans les boutiques. Des collants et des bas aussi. Et même des porte-jarretelles.
    
    Parfois, je voulais juste aller aux toilettes et me brosser les dents, je ne pensais pas à mal. Mais dans la baignoire, il y avait du linge à sécher. Quelques hauts, une robe et des petites choses que je ne pouvais vraiment pas louper : des culottes et des strings affriolants, noirs, rouges, panthères ou zébrés. En matière synthétique, en soie, en dentelles, à lacets ou à élastiques. Elles sentaient bon la lessive. Je les décrochais et y enfouissais mon visage, en frissonnant... C’était pour moi le seul moyen d’avoir accès à l’intimité d’une femme.
    
    Quand elle était de l’autre côté de la porte, je faisais vite. Quand elle me laissait ...
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