À la recherche d'un nouvel équilibre (11) - Histoires de Sexe

À la recherche d'un nouvel équilibre (11)

... goulûment pendant qu’il s’astique de plus en plus vite.

Puis il présente l’autre pied devant mes lèvres. Je me précipite dessus comme une morte de faim et m’en occupe avec autant d’entrain que son prédécesseur.

Le résultat ne se fait pas attendre bien longtemps : un liquide chaud éclabousse ma poitrine avec un petit bruit humide. J’ouvre les yeux pour regarder Anthony. Il éjacule à longs jets, qui s’élèvent avant de s’écraser sur mon visage et mon torse. Je suis terriblement envieuse de son plaisir.

Je sais désormais qu’il peut faire de moi ce qu’il veut. Je pourrais me laisser aller aux pires turpitudes sur un simple claquement de doigts de sa part, m’abaisser à toutes les vilenies pour qu’il me baise enfin. Je suis prête à tout. Mais j’ai bien compris que ce ne sera pas pour tout de suite. Il me faudra attendre demain soir.

La fin de la journée se passe sans nouveauté. Je me laisse sagement laver puis entraver ; je repose docilement à ses pieds pendant qu’il s’occupe à jouer ou à lire dans son fauteuil. Le moment venu, sur son ordre, je prépare et sers son apéritif puis le repas, que je mange toujours dans les mêmes conditions mais tout à fait ...

... sereinement cette fois.

Après une banale soirée télé, nous montons ensemble dans notre chambre. Après qu’il m’a fait un brin de toilette et que j’ai uriné devant lui sans aucune gêne, Anthony m’allonge sur notre lit, m’attache à nouveau les mains au montant, me tourne sur le côté gauche et se couche contre moi, son membre à nouveau en érection bien calé entre mes fesses.

Quelques secondes plus tard, je l’entends cracher. Il se dégage pour se lubrifier la queue. Puis il reprend place en place entre mes deux globes et entame un-et-vient rapide. Il se branle une nouvelle fois. Je reste passive. Son souffle chaud qui s’accélère sur ma nuque, ses dents qui mordillent le lobe de mon oreille, ses mains qui pétrissent mes seins et sa bite qui frotte mon anus me mettent à la torture. Son liquide chaud et visqueux finit par se répandre sur mon petit trou contre lequel il a plaqué son gland pour jouir, mais hélas sans aller plus loin.

Une fois soulagé, il s’endort rapidement sans changer de position. Je me blottis le plus possible contre lui, la chatte, le clitoris et l’anus plus que jamais en feu. Pour ma part, je ne parviens pas à trouver le repos aussi rapidement.