1. Latifa reprend du service


    Datte: 13/05/2018, Catégories: f, ff, fff, asie, cadeau, prost, nympho, bizarre, amour, fsoumise, fdomine, humilié(e), vengeance, jalousie, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, pied, Masturbation Oral fdanus, jouet, zoo, sm, donjon, attache, BDSM / Fétichisme baillon, yeuxbandés, fouetfesse, Humour aventure, Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe

    ... massage, sur le ventre, attachée par poignets et chevilles, et abondamment huilée sur tout le corps, comme une gladiatrice avant d’entrer dans l’arène. C’est une essence parfumée, volatile, dont l’odeur puissante, envoûtante, me plaît bien. L’onction que je reçois – l’extrême onction, en quelque sorte, célébrée par une prêtresse de l’érotisme –, dans le geste de l’appliquer, est en elle-même un plaisir délicat, où les mains se font caressantes, sensuelles, riches en sensations qui exacerbent mes désirs, les yeux fermés. Le contact appuyé des mains le long de ma colonne vertébrale, d’un mouvement descendant de la nuque au coccyx, plusieurs fois, est véritablement divin. Les ennuis auxquels je fais face n’existent plus. J’aurais même payé pour recevoir cela. Puis les doigts se font indiscrets, fureteurs entre mes fesses écartées très impudiquement. Je sens qu’un index pénètre l’orifice de mon cul, lentement, après en avoir tapoté l’entrée, phalange après phalange, bientôt rejoint par le majeur, élargissant la rosette à chaque mouvement circulaire. L’huile de massage fait office de lubrifiant pour que l’incursion soit agréable. Je ronronne comme au coin du feu un chat repu dont la maîtresse frictionne doucement la nuque. La seule chose que je regrette est que la pénétration ne soit pas plus profonde.
    
    La masseuse me libère afin de me retourner, couchée sur le dos, et m’attache à nouveau. Mes yeux sont aveuglés d’un bandeau noir, mais je n’ai pas l’intention de fuir les ...
    ... délices de cette captivité torride. La suite me donne raison : les mains malaxent mes seins, flattent les aréoles et lutinent les tétons qui se dressent sous l’effet de la trituration. Elles descendent doucement le long de la peau de mon ventre, s’attardent sur le nombril puis, à l’orée du sombre buisson pubien, sur le mont de Vénus dont elles franchissent la pente douce, puis descendent l’autre versant avant d’écarter délicatement les grandes lèvres entre pouce et index. Mon orchidée s’entrouvre : puisse la douce inconnue en aimer les parfums offerts à son odorat. Le premier contact digital sur mon clitoris, pourtant effleurement léger comme venant d’une plume, est électrique et provoque un sursaut de ma part. La lubrification naturelle associée à l’huile de massage doit faire ressembler ma vulve à une forêt après la pluie dont l’humidité facilite toutes les intrusions. J’aimerais que les attouchements se poursuivent à l’intérieur de mon vagin, mais le fait que mes jambes soient liées dans une position serrée ne le permet pas. Pourrait-elle délivrer mes chevilles afin que je lui ouvre en grand ma fleur rouge épanouie ? Avec le peu de libertés que permettent mes liens, je me cambre pour demander cela.
    
    Non, pas de doigté vaginal. Mais je l’entends brancher un vibromasseur dont le seul bruit du bourdonnement m’embrase encore un peu plus. Soudain, les bruits de respiration me signalent que d’autres personnes sont présentes à proximité. Elles vont me regarder me faire masturber en ...
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