1. Latifa reprend du service


    Datte: 13/05/2018, Catégories: f, ff, fff, asie, cadeau, prost, nympho, bizarre, amour, fsoumise, fdomine, humilié(e), vengeance, jalousie, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, pied, Masturbation Oral fdanus, jouet, zoo, sm, donjon, attache, BDSM / Fétichisme baillon, yeuxbandés, fouetfesse, Humour aventure, Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe

    ... alors, si tu n’as pas sommeil, tu peux me rejoindre dans mon lit, et alors je te montrerai que j’ai oublié cette petite aventurière…
    — Pourquoi il faut un lit ? On est tranquille, ici. J’ai envie de toi, juste là. Je suis jalouse d’elle…
    
    Le son des vêtements glissant sur le sol. Le bruit des succions humides et des gémissements. Le chant rauque que je connais si bien, celui qui jaillit de la gorge de Nolwenn quand elle jouit, la tête renversée en arrière. Elle a dû rester debout, campée fermement sur ses longues jambes légèrement écartées. La Doctoresse doit être à genoux pour lui lécher la chatte à grands coups de langue, baignée dans des odeurs de mouille. Ou bien l’autre orifice, en écartant les globes fessiers à pleines mains, comme on ouvre une orange mûre pour s’abreuver de la pulpe sucrée. Je me construis mentalement une image de leur étreinte et y ajoute des détails inventés sur le physique de la Chinoise, ce qui fait monter l’envie en moi et m’incite à me caresser, l’oreille toujours collée sur le conduit d’aération. Même les plus perverses ressentent un besoin instinctif de donner et recevoir de la tendresse, comme les obsédés de mon rêve recherchaient la douceur des femmes, à tout prix. Une larme glisse sur ma joue. Moi aussi, malgré tout, je ne peux pas m’empêcher d’être jalouse… à en crever !
    
    Le silence, de nouveau. Elles sont allées se coucher, peut-être ensemble. Demain soir, celle qui a été l’amour de ma vie se propose de me chatouiller à mort. ...
    ... Charmant programme. Mais tout va bien. Malgré la lumière ambiante que je ne peux pas éteindre, malgré la peur mêlée d’excitation, je parviens enfin à trouver le sommeil, en détendant mes jambes une à une, puis mes bras, jusqu’à sombrer dans un tourbillon de délicieux cauchemars.
    
    On me fait patienter longtemps. J’entends qu’au-dessus du plafond, on installe et on branche du matériel, on déplace des chaises, bref, on s’active. Curieusement, je suis plus excitée qu’inquiète à l’idée d’être la star vers laquelle tous les regards seront braqués, même s’il s’agit d’une drôle de corrida dont je serai, en quelque sorte, l’innocent taureau. Ou bien alors, une chrétienne livrée aux lions, dans la Rome antique de Néron.
    
    D’ailleurs, pour confirmer mon impression, une femme vient me chercher. C’est la maquilleuse. Elle est accompagnée d’Adrienne qui me rend mes vêtements, ceux que je portais en arrivant à l’agence, et qu’elle a entre-temps impeccablement repassés. C’est gentil, même si je me doute qu’il y a une raison autre que celle de me plaire. Elle m’attache sur une chaise – décidément, je commence à m’habituer à être ligotée – où je suis pomponnée et coiffée avec soin, blush, rouge à lèvres, fond de teint et tutti quanti. Elle s’occupe de moi avec douceur et m’offre même de regarder le résultat dans un miroir : impeccable. Je n’aurai jamais été aussi belle que le jour de mon exécution orchestrée par celle que j’ai tant aimée.
    
    Puis, je suis invitée à m’allonger sur une table de ...
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