1. Latifa reprend du service


    Datte: 13/05/2018, Catégories: f, ff, fff, asie, cadeau, prost, nympho, bizarre, amour, fsoumise, fdomine, humilié(e), vengeance, jalousie, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, pied, Masturbation Oral fdanus, jouet, zoo, sm, donjon, attache, BDSM / Fétichisme baillon, yeuxbandés, fouetfesse, Humour aventure, Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe

    ... Carine. Encore plus excitant. Enfin, pour les spectatrices – rassure-toi, il n’y aura que des dames. Parce que pour toi… pauvre Latifa, si pure, si douce !
    — Avancez, m’ordonne Feng. Ne vous amusez pas à tenter de fuir, parce que la gâchette est très sensible.
    
    Nous passons par un étroit escalier de service pour descendre deux étages, jusqu’à une cave dont la porte est blindée. On y trouve surtout un fauteuil de gynécologue, avec des sangles. Les murs, où sont accrochés différents instruments, ruissellent d’humidité. J’en conclus que nous passons du matériel de bureau au matériel de bourreau.
    
    — Veuillez nous déshabiller complètement et vous asseoir dans le fauteuil, en calant bien vos pieds dans les étriers. Je vais vous examiner.
    
    Le ton et l’arme dont le canon est toujours pointé dans ma direction ne laissent la place pour aucune discussion.
    
    — La culotte, aussi ?
    — Naturellement. Je vais effacer le sourire que je vois sur votre visage, car voyez-vous, dans le milieu dans lequel j’évolue, on m’appelle la Doctoresse. Ça rime avec caresse, tendresse, délicatesse. Mais avec moi, c’est tout le contraire et mes « patientes » connaissent d’abord l’effroi pour ensuite sombrer dans la démence, du moins celles qui ne cèdent pas tout de suite à mes demandes. Elles finissent toujours par céder, dit-elle en serrant avec force les liens qui m’immobilisent complètement. Dans le temps, j’étais gynécologue, mais je prenais tant de plaisir à faire sciemment souffrir celles que ...
    ... j’étais censée soulager que j’ai fini par être radiée de l’ordre des médecins. Que voulez-vous : on ne peut pas lutter toute sa vie contre sa vraie nature, et la mienne est perverse. Heureusement, Murena m’a confié ce travail qui correspond parfaitement à ma vocation.
    
    Après avoir enfilé une blouse impeccablement repassée et enfilé des gants de latex, elle commence tranquillement par m’ausculter et prendre ma tension. Elle croit qu’elle va réussir à m’inquiéter, mais Élodie sait où je me trouve et ne tardera pas à intervenir si je tarde à donner signe de vie. Tout ce que j’espère est que la Doctoresse ne trouve pas l’émetteur. Je vais essayer de la faire bavarder pour gagner du temps.
    
    — Alors, Madame la Doctoresse ?
    — Félicitations, Latifa : vous avez un cœur de championne. C’est mieux, car il ne faudrait pas que vous flanchiez avec seulement quelques minutes de supplice, demain soir : les spectatrices seraient déçues que cela se termine si vite.
    
    Elle fouille dans un tiroir pour en extraire un spéculum – un vrai, tout en inox, pas un de ces gadgets en plastique que vendent les boutiques en ligne aux amateurs de gynécologie amusante et qui se cassent facilement – et ajuste sa lampe d’examen pour la braquer vers mon sexe déjà largement ouvert du fait de l’écartement forcé de mes jambes.
    
    — Vous n’avez jamais eu d’enfant, on dirait ?
    — Non. Je n’ai jamais eu non plus de relations sexuelles avec un homme.
    — Je constate que vous lubrifiez naturellement d’une manière ...
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