Un cavalier sur le toit
Datte: 29/04/2021,
Catégories:
fh,
historique,
Auteur: André 59, Source: Revebebe
... rejoint et embrasse doucement ses genoux, puis ses cuisses. Il caresse son ventre, puis sa langue part explorer la fente rose et parfumée qu’elle lui présente.
Il n’a pas fait l’amour depuis une éternité ; elle non plus. Il n’est pas question des droits du vainqueur ; c’est plutôt la vie qui reprend ses droits. En gémissant, elle écarte les jambes, son bassin commence à bouger, sa tête roule de droite à gauche tandis que ses doigts se crispent dans la chevelure du jeune homme qui, de son côté, s’étourdit dans la saveur douce de ce sexe odorant. Tout en la caressant, ses doigts l’explorent, la fouillent, l’envahissent. Elle ne lui refuse rien, se donne sans remords, et jouit avec discrétion et élégance.
À lui maintenant de continuer cette agréable conquête. Il la retourne doucement sur le ventre sans qu’elle ne résiste. Elle a compris ce qu’il désire ; elle creuse les reins et se laisse pénétrer. En même temps, il passe une main sous son buste, caresse un sein, ferme et élastique, une autre main va caresser le pubis. Tous deux ondulent au même rythme. Elle aussi a passé une main entre ses cuisses et le caresse à son tour. Henri, tout à sa propre jouissance, ne cherche même plus à comprendre ce qu’elle peut lui dire en allemand. Ses sensations sont entièrement concentrées sur son sexe qu’il enfonce de plus en plus fort, alternativement, dans les deux orifices que la jeune femme lui offre. Lorsqu’il fait mine de se retirer, c’est elle qui lance ses reins à sa rencontre ...
... et imprime la cadence. Et il jouit à son tour à grandes saccades, criant, jurant, pleurant de joie, enfonçant ses doigts dans ces hanches généreuses.
En la tenant enlacée, il bénit son saint patron et remercie le Ciel que le pharmacien soit absent. Absence calculée, peut-être, mais ça on ne le saura jamais. Ce qu’il voit, c’est qu’il a encore envie d’elle. Aussi l’entraînement au corps-à-corps reprend-il de plus belle.
Elle s’est maintenant assise, le buste droit, les deux mains sur le rebord du lit. Lui est debout devant elle ; elle n’a qu’à entrouvrir les lèvres pour qu’il s’introduise progressivement dans cette bouche fraîche et humide. En bon sabreur, il s’y enfonce jusqu’à la garde, se retire puis replonge. Son palais constitue un merveilleux fourreau, et le jeune homme entend bien rendre un vibrant hommage à la vigueur de la cavalerie française en baisant énergiquement cette bouche si hospitalière. Elle le tient maintenant par les cuisses et ne cherche nullement à freiner la progression du membre qui l’envahit totalement. À ce train, difficile de tenir longtemps. Lorsqu’elle entreprend finalement de caresser sa verge dans un mouvement rapide de va-et-vient, il capitule sans condition, incapable de résister davantage.
Vers minuit, alors qu’Henri commence à s’endormir, sourire aux lèvres, dans les bras de sa douce et blonde Walkyrie, une forte détonation le jette au bas du lit. Comme lui, des dizaines d’hommes alertés par l’explosion se précipitent dans la rue et ...