La Gobeuse
Datte: 20/01/2021,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica
... centimètre carré de mon corps. Je crois que je devais être sa première occidentale. Il était fasciné par ma grosse poitrine et ma toison bouclée : apparemment les Japonaises ont des poils beaucoup plus courts là-dessous. On s'allongea sur le futon et il descendit jusqu'en bas et me lécha ma fente encore un peu douloureuse. Je n'avais jamais été broutée par un homme avec autant de talent. Je fus submergée par un orgasme intense et inattendu, ce qui me gêna beaucoup et l'amusa aussi beaucoup.
M. Minamoro continua à me lécher, me sucer le berlingot et me doigter jusqu'à ce que je jouisse à nouveau. J'y arrivais une troisième fois pendant que je le baisais, ce qu'il voulut que je fasse en le chevauchant face à lui. Il regardait fixement mes seins gigoter.
Après coup, je ne suis pas sûre de ce qui avait été le plus humiliant : de me faire violer par le premier homme ou d'avoir succombé aux mains d'un collègue. En tout cas, j'achetais une boîte de préservatif et un grand tube de vaseline en rentrant à la maison. Le vendeur me sourit devinant l'utilisation que j'en ferais ; probablement que, pour lui, toutes les femmes occidentales étaient des salopes.
Le matin suivant en m'habillant, Reika se montra au seuil de ma chambre : « Ne porte pas de collant, mets des bas plutôt.
— Mais ils sont presque déjà enfilés, » dis-je stupidement. « Et les bas sont plus pénibles à mettre.
— Ça t'ira beaucoup mieux, et tu devrais mettre des strings, pas ces grosses choses. »
C'est ...
... alors que je compris : Reika n'était pas là simplement comme colocatrice, elle était là pour représenter l'entreprise et s'assurer que je me comporte bien. J'arrêtais d'enfiler mes collants et lui demandais lentement :
« Reika, qui vivait ici avec toi avant que je vienne?
— Mais personne, pourquoi? répondit-elle l'air de rien. Monsieur Takashita a meublé l'appartement, l'entreprise a le bail et je paie un loyer à l'entreprise. Ta part du loyer est compris dans ton bonus d'expatriation, je crois. Moi, je vivais avec mes parents avant.
— Oh, je comprends maintenant.
— Comprendre quoi? Et dépêche-toi de te changer ou on sera en retard au travail. »
Obéissante, je mis un porte-jarretelles et des bas et enfilais un de mes deux strings. Ça ne valait pas la peine de se battre pour ça. Et, Dieu merci, c'était mardi ; je préférais ne pas savoir ce que le pervers du métro aurait fait avec mes dessous.
Quand vendredi arriva, j'avais été à "L'abricot mûr" avec cinq hommes différents et gagné 75.000 yens, ce qui représentait plus de 800 dollars, et il n'y avait pas d'impôt dessus. Mais gagner cette somme n'avait pas été de tout repos, le directeur du lundi était une exception : la plupart des hommes aimaient se montrer dominateurs et certains étaient même brutaux
Le trader du mardi voulut me baiser dans toutes les positions qu'il pouvait imaginer : missionnaire, levrette, moi dessus, en cuillère ; tout ce qu'on pouvait nommer ou imaginer il voulait le faire. J'étais ...