1. La Gobeuse


    Datte: 20/01/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica

    ... dans une salle rempli d'une douzaine de collègues habillés, ainsi que les serveuses. C'était trop demander.
    
    Monsieur Takashita fit un geste et les deux serveuses vinrent gentiment m'aider à me lever. Elles me déshabillèrent de mon costume de femme d'affaires et de mon chemisier, les pliant soigneusement pour plus tard. Mon soutien-gorge et mon string ficelle suivirent. Je compris alors pourquoi Reika avait choisi ce vêtement ridicule pour aujourd'hui : c'était un minuscule triangle de tissu qui ne couvrait même pas toute ma toison noire, et la ficelle n'arrêtait pas de me rentrer dans la fente.
    
    « Suzichan, fais le tour de la pièce qu'on puisse t'admirer. »
    
    Déconfite, j'obéis les regardant me mater mes seins nus, ma chatte et mes fesses. J'avais le visage aussi rouge qu'une femme pouvait avoir.
    
    « Tu vas commencer à sucer maintenant, guujin. » Une serveuse me pressa un verre dans les mains. « Tu demanderas à chacun de tes camarades directeurs la permission d'abord, et tu te déplaceras à quatre pattes, pas debout. »
    
    J'éclatais en sanglots, et me déplaçant comme un animal, j'allais jusqu'au premier. « Minamoro-sama, puis-je sucer votre pénis? »
    
    Une fois encore, je fis le tour de la pièce, suçant mes collègues et les vidant de leur sperme dans le verre. Une fois encore je m'agenouillais au centre de la salle et avalais la semence en une série de petites gorgées. Mais cette fois, on me demanda de rester nue ...
    ... après le spectacle, alors que tout le monde bavardait, discutant surtout de mon corps. Je ne fus autorisé à me rhabiller qu'en fin de soirée, quand Reika me ramena à la maison.
    
    *****
    
    Lundi, Reika sortit mes vêtements de travail : Chemisier, jupe, une veste ainsi que des bas autofixants.
    
    « Reika, qu'est-ce que tu veux que je mette comme culotte et soutif? la questionnais-je depuis l'autre chambre.
    
    — Ne t'inquiète pas pour ça, me cria-t-elle en retour. Je les emporte dans mon sac à main, tu pourras les mettre au travail.
    
    — Mais... mais pourquoi? demandais-je, bien je connaissais déjà la réponse à la question.
    
    — Pour que tu puisses en faire plus avec ton admirateur. Ça sera drôle! Et, pense à appliquer de ce lubrifiant que tu trimballes partout dans ton derrière. »
    
    La journée fut infernale. Reika était pressée contre de moi, de face. Je pouvais sentir ses tout petits seins dans leur soutien-gorge s'écraser contre les miens sans protection. Elle n'arrêtait pas de pouffer de la situation dans laquelle je me trouvais et me chuchotait des "vilaines filles" à l'oreille. Pendant ce temps, mon agresseur avait poussé un, puis deux, puis trois doigts dans mon fion lubrifié pendant que je le branlais. Mais au moins Reika tint sa promesse et me donna mes sous-vêtements dès que l'on fut arrivée au bureau. Je suppose qu'une directrice américaine avec les seins gigotant sous son chemisier ferait mauvais genre.
    
    A suivre... 
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