1. La Gobeuse


    Datte: 20/01/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica

    Traduction de "Milky" une histoire écrite par Surtea que vous pouvez contacter
    
    Chapitre 1 -- Diplômée
    
    Ayant étudié le japonais à l'université et après avoir obtenu mon MBA, j'avais logiquement intégré une entreprise japonaise basée à New York. Ils recherchaient des personnes avec mes compétences et je pouvais ainsi améliorer mon niveau de japonais. Et puis, le salaire était assez élevé pour quelqu'un tout juste sortie de l'université.
    
    Plusieurs amies m'avaient avertie que j'étais folle d'intégrer une firme japonaise, qu'ils étaient misogynes et que seuls les Japonais pouvaient espérer obtenir une promotion. Je leur répondais qu'on était à New York et que la loi américaine s'appliquait ici. En plus il n'y avait qu'à peine la moitié du personnel de Japonais. Et de toute façon, si je sentais qu'il y avait un problème, je pouvais tout simplement démissionner.
    
    Mais, il n'y eut aucun problème. J'étais dans la branche "transaction et courtage" du conglomérat japonais. Et je finis par travailler dans le marché des matières premières, ce qui me convenait parfaitement. Je n'avais pas à m'occuper des transactions, et ça ne m'aurait pas convenu : je ne suis pas assez forte en gueule ni assez impulsive pour réussir sur la salle des marchés. J'étais la spécialiste de l'analyse des cours dont notre équipe s'occupait. J'analysais comment l'équipe agissait par rapport au marché... je cherchais les tendances et les anomalies que l'on pourrait exploiter et grâce auxquelles les ...
    ... traders pourraient faire du profit. Mes analyses étaient rapides et précises... je m'intégrais vite au groupe. Mon patron, un Japonais, était content de moi et il n'hésitait pas à me féliciter.
    
    Le groupe était à 90 % masculin et les deux tiers d'entre eux Japonais. Mais il y avait quand même des Américains, et certaines des femmes se débrouillaient aussi bien que leur homologue asiatique. Cependant, aucune Japonaise ne travaillait ici. Même le poste de secrétaire du chef des transactions était occupé par un homme. Et, si on socialisait tous ensemble, il arrivait par moments que les Japonais se regroupent et aillent faire des trucs ensemble : boire, chanter au karaoké et d'autres choses du genre. Mon japonais s'était amélioré et j'étais devenue presque bilingue, je me sentais comme un membre important de l'équipe
    
    Quelques femmes s'étaient plaintes que, parfois, des Japonais les draguaient lourdement, surtout après qu'ils aient bu quelques verres. Mais personnellement, je n'ai jamais eu de mauvaise expérience. Je me demandais d'ailleurs pourquoi ; j'étais plutôt belle, brune et avec un joli minois, et pas assez grande pour toiser les Japonais même les plus petits. Je supposais qu'ils me laissaient tranquille parce que je parlais un excellent japonais et que j'étais aussi mieux intégrée et moins considérée comme une cible à qui faire des avances.
    
    Puis arriva l'évaluation marquant la fin de ma première année, et la nouvelle me fit l'effet d'une bombe : l'entreprise voulait ...
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