La Gobeuse
Datte: 20/01/2021,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica
... fatiguée rien que par les changements de position.
Celui du mercredi voulait me baiser le cul. Les Japonais semblaient avoir une obsession avec les fonctions organiques et le sexe anal était quelque chose qu'ils voulaient presque tous faire. Plus tard, je réalisais que c'était un miracle qu'aucun de mes premiers clients n'aient voulu m'utiliser de cette façon. Je ne crois pas que trois hommes de suite ne m'aient sauté sans que l'un me demande d'entrer par la porte arrière. Heureusement que je m'y étais essayée deux fois à l'université et que j'avais du lubrifiant avec moi. Mais, même comme ça ce fut une douleur affreuse, mon partenaire était tout sauf doux. Quand il eut fini, je me sentais déchirée. Je retournais au bureau avec une démarche lente et affectée.
Jeudi, le trader du jour voulut une gorge profonde. Je n'y étais jamais parvenu et je ne voulais pas vraiment essayer, mais mon partenaire était déterminé et continua à me baiser la bouche et à enfoncer sa bite assez longue de 18 centimètres jusqu'au fond. Je n'arrêtais pas de m'étouffer. Je pense que j'aurais pu vomir, mais cela ne m'arrivait presque jamais, même quand je me sentais mal. Puis, soudainement, alors que je salivais pour garder le contenu de mon estomac à sa place, sa bite frappa le fond et se retrouva dans ma gorge. Je l'avais avalée. Un peu perverse, j'eus une pointe de fierté à avoir réussi ce tour. Y étant parvenu une fois, je comprenais maintenant comment ça marchait, et je réussis à le faire ...
... et à le refaire.
Mais cela me fit vraiment mal : ma gorge était ultra-sensible, mes mâchoires étaient douloureuses, mes lèvres semblaient gonflées et mon visage était marqué à l'endroit où il me violait la bouche. Il jouit deux fois dans ma bouche, les deux fois il voulut me voir avaler sa pâte visqueuse. Je n'avais avalé qu'une fois dans ma vie, quand un garçon à la fac me gicla dans ma bouche en trois secondes chrono.
Je ne peux pas dire que j'aime le goût du sperme, j'en trouve la texture plutôt dégueu. Quand j'arrivais au bureau, il devait avoir raconté ce qui s'était passé, car plusieurs hommes me regardaient comme si j'étais différente. Et, à part pour mes lèvres gonflées, je pensais avoir plutôt bien camouflé les dommages. Le soir, j'étais si enrouée que je pouvais à peine parler. Reika m'acheta une glace et je l'avalais douloureusement, mais avec reconnaissance.
Le type du vendredi voulait une gorge profonde suivie par de l'anal. Et bien que ces deux orifices soient encore douloureux à cause des baises précédentes j'obtempérais. Je me sentais fière d'y parvenir même si je me sentais aussi humiliée et constamment au bord de la crise de larmes. Puis, enfin, ce fut le week-end.
Reika et moi on sortit claquer tous mes gains. Je nous achetais deux paires de chaussures de marque. Je me rendais compte que je voulais vraiment être son amie : qu'elle soit de mon côté et non du côté de l'entreprise. Ce fut Reika qui suggéra comment dépenser le reste de l'argent ; on ...