1. La Gobeuse


    Datte: 20/01/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica

    ... embarrassée quand je retirais mes collants, mon soutien-gorge et ma culotte. Quand je me tournais vers lui, mes mains cachaient mon buisson et ma poitrine. Il bandait déjà. Son sexe n'était pas particulièrement petit : aussi gros, voire plus gros que ceux des autres que j'avais connus. Il semblait que le mythe des Japonais avec de toutes petites quéquettes n'était pas entièrement vrai. En réalité il y avait que très peu de queues très longues, mais la plupart étaient bien épaisses.
    
    Le sexe fut brutal et fonctionnel. Je n'avais encore jamais été avec un homme qui ne se soit pas montré gentil. Il agrippa mes seins et les malaxa. Quoique mes nichons ne soient pas particulièrement gros, ils étaient tout de même bien plus imposants que ceux de la plupart des Japonaises ; ce stéréotype semblait tenir. Il me pinça les tétons jusqu'à ce que je finisse par pousser un petit cri.
    
    Il me poussa sur les genoux, et enfourna sa bite dans mon visage. Je commençais à la lui embrasser et essayais d'être coopérative pour qu'il soit moins vigoureux. Mais il la poussa dans ma bouche ouverte et me tint la tête pour se mettre à me baiser la bouche jusqu'à ce que son gland cogne contre le fond de ma gorge et que je commence à étouffer. Ça ne l'arrêta pas, et il continua à marteler ma pauvre bouche ; ma mâchoire se mit à me faire mal en un rien de temps. Je pleurais et mon maquillage se mit à couler. Je voulais mourir. Il n'arrêtait pas m'appeler une "pute" (Saseko!) en japonais encore et ...
    ... encore.
    
    Bien vite, il me mit le dos sur le futon et me baisa en agrippant mes seins déjà bien mal en point. Je ne mouillais pas et ma chatte fut bientôt douloureuse. Je me fis des notes mentales :
    
    1) J'espérais que sa bite lui ferait mal et 2) d'apporter de la vaseline la prochaine fois. À aucun moment il ne fut question de contraception, il supposait juste que je ne prenais pas de risque à me faire baiser. Heureusement, je prenais la pilule, ayant été trop indécise pour arrêter de la prendre quand je quittais le lycée. Et par bonheur, il jouit rapidement. Il s'écarta en me roulant dessus et se leva en me regardant de haut, roulée en boule, et sanglotant faiblement. « La prochaine, je veux plus, » dit-il brusquement sortant de l'argent liquide de la poche de sa veste et le jetant sur le futon. J'allais dans les sanitaires et me lavais alors qu'il se rhabillait et partait sans rien ajouter d'autre. Je laissais éclater mes pleurs pendant que j'écartais les lèvres de mon con et épongeais son sperme hors de ma chatte meurtrie. Je m'habillais et ramassais l'argent du lit souillé. Je me sentais plus humiliée et dégradée que je ne le pensais possible.
    
    Quand je revins à la salle des marchés, plusieurs traders entouraient le jeune homme, qui se vantait ouvertement. Tous les yeux étaient fixés sur moi alors que je parcourais la distance me séparant de mon petit bureau. Reika vint me voir avec une tasse de thé vert. J'en fus pathétiquement reconnaissante. Au moins, quelqu'un était de ...
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