1. La Gobeuse


    Datte: 20/01/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica

    ... peloteur une fois par semaine.
    
    Mais le lundi se révéla encore pire. C'était comme si l'homme voulait rattraper le temps perdu. Il défit complètement un côté de ma jupe, ce qui m'obligea à la tenir d'une main. Et, non seulement ses doigts se mirent en quête de ma chatte comme avant, mais il m'attrapa ma main libre et la fourra dans la poche de sa veste. J'eus un nouveau choc : la poche avait été complètement découpée et sa main guida la mienne jusqu'à ce que je sente son sexe sortant de son pantalon. J'essayais de retirer ma main de ce piège, mais il la maintint pendant qu'il me doigtait. J'abandonnais et commençais à lui caresser la bite. Il me lâcha alors la main pour partir à l'assaut de ma chatte qu'il trouva pleine de jus. Il s'en lubrifia et fit le tour jusqu'à mon cul. Avec ma mouille, il réussit à enfoncer son doigt entier dans mon petit trou. Les yeux écarquillés je m'écrasais contre Reika, et, juste avant notre arrêt, je sentis le voyou éjaculer. Sa jouissance entraînât la mienne et je soufflais fort en essayant de camoufler mon orgasme. Je me traînais hors de la rame une main pleine de sperme pendant que l'autre retenait mes vêtements.
    
    Reika vit la substance gluante sur mes doigts : « Tu es une vilaine fille, très vilaine. » Elle riait fort.
    
    « Je ne le suis pas. C'est toi qui m'as dit de ne pas faire de scandale.
    
    — Oui, mais je n'ai pas dit de laisser l'homme faire ça. C'est toi qui l'as fait. »
    
    Chapitre 3 -- Le déjeuner
    
    Cette semaine certains ...
    ... hommes me proposèrent d'aller prendre le déjeuner avec eux. De la façon dont ils me le demandaient, je me rendais compte qu'ils ne parlaient pas simplement de manger, mais d'une partie de jambe en l'air dans un de ces "love hôtels" consacrés aux plaisirs amoureux. Je refusais sans hésiter ; j'avais comme règle de ne pas mélanger vie professionnelle et vie privée. Mais il m'apparut soudain que j'avais parfois vu certaines assistantes personnelles s'éclipser au moment du repas. Un soir je demandais à Reika :
    
    « Il y en a qui sont mariées, pourquoi y vont-elles?
    
    — C'est bon pour l'équipe. Et les hommes te donnent de l'argent.
    
    — Ils font ça? C'est de la prostitution. » J'étais choquée. « Et combien ils paient? Tu le fais toi?
    
    — Un peu près 15.000 yens. Et j'y vais parfois, peut-être une fois toutes les deux semaines, c'est bon pour le morale et je peux me payer une belle écharpe ou des chaussures de marque.
    
    — Eh bien, je ne le ferais pas! » Ça expliquait en tout cas comment une assistante personnelle comme Reika pouvait se payer des sacs Louis-Vuitton.
    
    « Ils prennent des paris sur celui avec qui tu partiras en premier! » pouffa Reika.
    
    J'allais me plaindre au patron, mais il se contenta de hausser les épaules. Monsieur Takashita était un vieil homme, très guindé et qui avait toujours été d'une politesse scrupuleuse envers moi. J'étais sûre qu'il me défendait et dirait aux autres d'arrêter de me harceler. Mais au contraire, il m'expliqua calmement que je ne devrais ...
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